Sauverlinda's Blog

décembre 25, 2009

ACTE1:Quand des maitresses d’école deviennent complice d’un complot sordide sur une enfant !

plus tard ma fille m’avoue que la directrice de la maternelle de nabeul et de soliman se connaissait bien deja,ce qui n’a pu que tardivement clarifier le complot que ma femme a tissé à mon dos depuis qu’elle étais au foyer conjugal pour faire de linda sa parfaite otage !

http://vids.myspace.com/index.cfm?fuseaction=vids.individual&videoid=101677353 (cette video coupe étrangement depuis quelques jours  tout juste au milieu sans jamais atteindre la fin….à un passage où ma fille dit moi je veux aller chez maman sans qu’on lui ai posé de question!….les operateurs d’isoc tunisie sont-ils encore une fois derrière ????? tant pis, voyons s’ils peuvent censurer quoi que ce soit sur facebook!  cette fois-ci vous pouvez la visionner jusqu’à la fin!

vous comprendrez quelle révélation monsieur isoc tunisie a voulu étouffer!!!!!

:http://www.facebook.com/video/video.php?v=1310642014236

apres avoir été injustement coupé de ma fille,geographiquement (loin de 55 km) et temporellement (droit de visite 2 fois /mois ni fetes ni vacances) je me rend à la maternelle où ma femme a inscrit ma fille à soliman :

http://vids.myspace.com/index.cfm?fuseaction=vids.individual&videoid=101677177

l’effet de la terrorisation sur ma fille est clair,

1/ »papa tu va partir après et moi je vais chez maman »

2/ »papa  ne viens pas à la maternelle car il ne faut pas interrompre le meddeb quand il récite le coran » comme si le meddeb venait chaque jour

3/ »papa reste là je vais demander à l’institutrice de me laisser partir faire mes courses scolaires avec moi…elle me laissera papa »

c’est clair que ma fille craignait que l’institutrice applique les recommandations de sa mère de ne poas me laisser contacter ma fille

4/l’institutrice:

* »ta femme est cool elle te laisse voir linda »

c’est comme si ma femme détenait la vanne pour m’autoriser ou non à accomplir mon devoir de suivre les interet de ma fille à l’école….la complicité de l’institutrice au processus d’aliénation est deja là!

* »mais tu sais comme toute mère ,elle a peur » peur de quoi ? que ma fille assure sa continuité avec ses deux parents alors que c’est ma femme qui a kidnappé ma fille et l’a coupé de son milieu naturel comme tout enfant sensé évoluer entre ses deux parents? encore un indice de complicité à l’aliénation parentale  qui a trahi cette institutrice qui feint faire  l’institutrice impartiale.

http://vids.myspace.com/index.cfm?fuseaction=vids.individual&VideoID=101602425

et puis à la fin de la visite c’est la grand -mère qui vient chercher ma petite! on a arraché ma fille de mes bras pour qu’elle soit balottée et que ce ne soit pas non plus sa mère qui s’en occupe mais pire,la grand-mère cette personne aliénante par excellence et amorale de la pire souche et qui a osé prétendre que ma fille a peur de moi!!!?

je signifie à l’institutrice que je ne veux pas qu’il y ai autre personne que ma femme  qui s’occupe de ma fille pour son école et qu’elle l’invite à venir chercher ma fille en personne. Et la la grand-mère me pousse devant ma fille comme ultime signature de l’aliénation parentale de cette perverse disant que ton papa est insignifiant et qu’il n’a aucune autorité  parentale!

j’ai déploré ce fait qui ne pouvait qu’ébranler ma fille qui est deja sous manipulation permanente de part sa mère et sa grand-mère ,et j’ai insisté que ce soit ma femme qui vienne chercher ma fille!

15mn passée et ma femme se manifeste avec un huissier notaire,pourquoi? à vous de deviner elle aurait pus plutot s’occuper de notre fille que d’etre disponible pour creer des problèmes là où il y en a pas et dont surtout ma fille n’a pas besoin de vivre…mais elle ,elle se fiche pas mal de notre fille ,notre fille n’est pour elle qu’un objet,une arme de guerre! son instrument pour provoquer un divorce de la façon la plus sordide!

http://vids.myspace.com/index.cfm?fuseaction=vids.individual&videoid=101606180

le lendemain j’envoie à ma femme et à la directrice d’école une demande officielle que ce soit uniquement ma femme qui s’occupe de ma fille à l’école:

ma femme l’a pris chez le huissier,la directrice quant a elle l’a refusé :indice claire de complicité dans l’intention d’endiguer ma fille dans l’aliénation parentale malgrès le comportement manifestement déplacé et dangereux de la grand-mère dont les repercussion sur les representation parentale sont des plus dangereuse ce qui ne devrait pas échapper à l’esprit de n’importe quel éducateur de niveau élémentaire, que dire quand il s’agit d’une directrice de maternelle qui a bien roulé sa bosse!

Etant deja coupé de ma fille et de toute possibilité que ma petite puisse témoigner de quoi que ce soit,car deja prise en otage et sous dictature affective des plus abominables opérée par sa mère(usant de la peur la plus ancestrale qu’on puisse trouver chez  un enfant et qui est la peur de l’abandon par sa mère,se sentant deja abandonnée géographiquement par son père, bien que malgrès lui ,par une decision de juges  fondée sur aucune base tangible),ma  femme double alors le poids de sa perversion  invitant l’institutrice et la directrice de l’école à donner de faux temoignages et inverser totalement la version des faits!

Et comme les perverses narcissiques sont stratèges nées du mensonge,elle a deja pris la précaution de demander à notre fille de ne pas se faire filmer par son papa pour quelques raisons que ce soit ( http://vids.myspace.com/index.cfm?fuseaction=vids.individual&videoid=101606180)  pour qu’elle puisse réussir son crime parfait et qu’il n’yai aucun indice qui risquerait de dévoiler ses mensonges pour apposer enfin sa signature dans l’art où elle excelle et qui est celui  de se presenter comme la victime la plus persécutée sur terre!et c’est d’ailleurs la meme perversion morale que présente la grand-mère.  Ce que vous aurez bien pu remarquer dans la video précédente et que vous découvrirez aussi dans bien d’autres que vous aurez à voir comme témoignage qui dévoilent ses autres mensonges qu’elle a tissé en toile d’araignée!

et en voila une autre video qui témoigne clairement de l’harcelement que subit ma fille qui est prise en otage et abusée et instrumentalisée sur le plan émotionnel pour l’entrainer dans le mensonge ,oui c’est le danger auquel j’ai attiré l’attention du juge ,de la protection de l’enfance et des psy  mais c’était comme si je fabulais ou comme si c’était des visions de mon esprit: écouter par vous meme svp et revenez sur le rapport d’expertise de jean marc delfieux cet expert psychiatre auprès de la cour de nimes qui a parfaitement explicité ce que c’est l’aliénation parentale ,la perversion narcissique et le danger irreversible qui pesera sur l’enfant et qui brise l’enfant en profondeur avec le meme degrès de gravité qu’un abus sexuel!

http://vids.myspace.com/index.cfm?fuseaction=vids.individual&VideoID=101610170

Et attention ce n’est pas le seul mensonge sordide qu’elle a ficelé pour me couper de ma fille et me tuer « psychiquement » et jouer avec de tout les acteurs de justice,de l’enfance et toute autre personne crédule qui n’imaginerais jamais qu’il puisse exister des personnes d’une telle perversion morale et qui puissent en acteur nées se presenter sous un visage et un discours aussi angélique!

Et ce n’est pas fini,autant que j’étais conscient du danger qui s’opérait sur ma fille et que j’essayait par le peu de marge qu’on ma laissé pour se continuer avec ma fille,autant que les deux bonnes femmes perverses qui sont ma femme et sa mère mettaient plus de poids usant de toute personne pouvant servir leur stratagème pernicieux pour me mettre dans les situations les plus intimidantes et alienantes toujours en construisant sur la première base de mensonges comme m’empecher d’assurer mon devoir de suivre mon enfant à l’école( quitte à me pointer par la suite de negligeance afin de me retirer totalement la tutelle sur mon enfant en ayant leur sourire aux levres) :La directrice d’école donne des consignes pour qu’on me ferme la porte au nez si je me manifeste pour demander des nouvelles des études de ma fille: Veuillez regarder par vous meme!:

http://vids.myspace.com/index.cfm?fuseaction=vids.individual&VideoID=101677886

sachant qu’une des institutrices étais la femme du secretaire general de la municipalité de soliman ,ma femme n’a pas hésiter de l’impliquer comme pour disperser mon attention et me mettre en rivalité avec davantage de personne desquels elle s’est assurée de leur parti pris et dans l’espoir de me mettre dans des situations qui ne pouvait etre que conflictuelle comme je rencontrais des attitudes des plus aberrantes et gratuites….le gardien m’a demandé de contacter le secretaire général et puis il a eu peur me voyant filmer et s’est retracté pour signifier que c’étais les consignes de la directrice et qu’il risquait de se faire engueuler s’il m’autorisait à rencontrer la directrice…et il ne s’est pas aretté là …il a meme fermé la porte avec une chaine et un cadenas comme s’il étais en face d’un malfrat….et ce n’est rien par rapport à d’autre intimidations que j’ai reçu durant mon calvaire…mais rien ne m’a fait reculer…

http://vids.myspace.com/index.cfm?fuseaction=vids.individual&VideoID=101678237

et enfin le comble de la perversion ,voila ce que la directrice d’école a donné à ma fille à la fin d’année…

sa signature à son tour du crime parfait sur ma fille …pour l’emmener en profondeur dans la confusion émotionnelle.Hier on ferme la porte au nez de ce papa,dans le dos de ma fille ,la directrice fait un faux témoignage inversant la version des fait auquels ma fille a été témoin ..faux témoignage qui serait à meme de diaboliser ce père…le couper de sa fille définitivement….

La dictature affective sur ma fille et la campagne de diabolisation monte d’un cran,depuis la mère et la belle mère(http://vids.myspace.com/index.cfm?fuseaction=vids.individual&VideoID=101670369)

elle passe au degrès de l’école pour finaliser le formattage affectif …lui dictant ce qu’elle est en droit de sentir ou de ne pas sentir! hier ton papa est le méchant…aujourd’hui il est le meilleur papa du monde! pour qu’aussi lorsqu’elle rentre chez sa maman ,que cette dernière lui dise :les enfants de l’école vont à Friguia ce week-end,tu sais c’est dommage…mais surtout ne le dit pas à papa car il ira jusqu’à friguia pour faire un scandale!

que doit encore supporter ma fille,protecteurs de l’enfance et juges? si vous vous en foutez moi je ne m’en fout pas ,vous avez brisé ma fille en profondeur …ma fille va bientot avoir comme une seule solution à sa souffrance qui dure depuis longtemps qu’elle vit un conflit de loyauté manifeste suite à sa prise d’otage par sa mère:  LE CLIVAGE…se séparer définitivement de son père qu’on a écarté géographiquement et temporellement!

Si Madame ahlem belhadj psy de son temps ne comprend pas ce que j’écris à propos de la souffrance de ma fille,ses confrères lui dirons qu’elle est tout juste bonne à prendre la serpillère et faire la femme de ménage domestique plutot que d’incendier le ménage des gens et briser tant d’enfants  auquels elle est sensé porter assisstance et non les endiguer dans le danger!  https://sauverlinda.wordpress.com/plainte-presentee-au-president-du-conseil-de-lordre-national-des-medecins/

Le démantèlement de cette toile d’araignée de mensonge continue et je ne m’aretterais pas de les devoiler et de dévoiler aussi les dégat actuels et à venir chez ma fille si on ne la tire pas du guepier où elle vit en ce moment entre ses deux personnes qui continuent à se soustraire d’une expertise psychologique parentale que je n’arette pas de réclamer!

A demain..inchallah et merci pour votre patience!

août 13, 2009

profil du pervers narcissique

Dans le jargon familier,il y’en a

qui qualifie ce genre de femme

de « salope » comme l’exprime cet

internaute tunisien KAISER

sur le site tunisien marhba:

http://www.marhba.com/forums/au-masculin-54/quest-quune-s-9344.html

:

« pour moi une s***** c’est une

femme qui n’a ni foi ni loi qui n’a

aucun principe, qui pour elle

tout les moyens sont bons pour

arriver à ses fins et ce quelque

soit les dégats qu’elle peut causer

aux autres « 

,mais pour ne pas tomber dans les vulgarités,ce profil correspond en terme de psychologie au profil  de la perversion narcissique…

de quoi s’agit-il au fait ?


Le Pervers Narcissique est porteur d’une maladie mortelle… pour l’autre!

Nous avons tous été plus ou

moins amenés à le rencontrer

sur notre route.

Il a même parfois détruit des

vies, la vôtre peut être…

Le Pervers Narcissique est porteur d’une maladie mortelle… pour l’autre!

Nous retrouvons cette pathologie plus particulièrement chez les hommes, mais certaines femmes l’ont également . Parfois notre compagnon ou compagne, parfois notre mère, notre fils…. Parfois il est notre collègue, notre patron et même un « ami » qui nous veut tant de bien…

Il peut être sympathique, altruiste, timide, dictateur…

Il se trouve partout, tapi dans l’ombre de son sourire bienveillant. Il est prêt à fondre sur sa proie avec une telle habileté que la futur victime ne s’en rends pas compte.

La « victime »…. Souvent une personne intelligente, brillante. Une personne qui cache pourtant une certaine faiblesse. Un faille dans laquelle le Pervers Narcissique aura un réel plaisir à s’engouffrer comme un drogué qui trouve enfin sa substance!

Cette victime aura sans doute été déstabilisée momentanée par une situation difficile et passagère, ou vivra une souffrance profonde et ancienne du genre « abandon », « solitude » créant ainsi la faille indispensable dans laquelle le Pervers Narcissique va s’engouffrer.

En tout les cas, il y a un besoin d’amour, de reconnaissance que ce rapace saura détecter dès le premier instant.

Il va doucement combler ces manques, par des démarches bienveillantes, prenant ainsi tout doucement sa place auprès d’elle.

C’est une sorte de danse, macabre sûrement. Une danse qui se rapproche d’une transe qu’il induit chez sa victime.

Il sais se rendre indispensable.

Le Pervers Narcissique, est un manipulateur hors pair.

Consciemment ou non, il sait endormir la vigilance naturelle de la victime potentielle.

aieconfiance

**** Aie confiance / Crois en moi / Que je puisse / Veiller sur toi … ****
La chanson de Kaa, Le livre de la Jungle, Disney, 1967

Le Pervers Narcissique a un flair hors du commun lorsqu’il s’agit de détecter la victime dont il va se nourrir !

Le Pervers Narcissique n’a qu’une réalité, LUI.

Il n’a pas la même vision du bien et du mal que les autres humains.

La seule et unique chose qui compte pour lui, consciemment ou non, c’est lui!

Pourtant, au début de la relation perverse, il saura donner le change par des gestes d’apparente bonté d’âme. Toute la perfection de son art de la manipulation est en application.

Il est rare, que dis-je, très rare que la victime puisse s’en rendre compte, et cela même si elle est avisée! Tout au plus elle verra des signes, ressentira des alertes, entendra des mises en garde, mais l’emprise est déjà trop présente pour qu’elle ai « envie » de réagir. Car c’est bien cela me semble-t-il, la victime, à ce moment là de la relation perverse, aura bien souvent le sentiment de maîtriser la situation, de pouvoir changer les choses par son amour, ou par son intelligence….

C’est ce qu’il veut lui faire croire !

C’est déjà trop tard. Le piège se referme sur la victime.

Le Pervers Narcissique est un expert dans l’art du mensonge. Un art qu’il a acquis dans sa plus tendre enfance. En fait, c’est son mode d’expression et il peut fort bien ne pas s’en rendre compte.

Il excellera dans l’art de la conversation contradictoire, du discours paradoxal, de telle sorte que, très vite la victime ne saura plus où elle se situe, quoi penser, elle sera comme engourdie et se dira même bien souvent qu’elle est responsable de cette confusion. Il s’échappe ainsi habilement de toute opposition.

Le Pervers narcissique est incapable d’assumer la responsabilité de ses actes. Il retournera habilement la situation pour en rendre l’autre responsable. Et curieusement son habilité est telle que la victime doutera de son propre bon sens.

Le Pervers Narcissique évolue dans des affirmations, des menaces, des sous entendus suffisamment flous que la victime ne pourra récupérer pour le mettre en face de ses mensonges.

Et de toute façon, le Pervers narcissique est incapable de se remettre en question pour la bonne et simple raison qu’il n’a aucun problème (selon lui…)

Lorsqu’il sent une résistance de la part de sa victime il peut devenir dangereux, violent même et commencera à pousser la victime dans ses derniers retranchements en créant des situations compromettantes ou douloureuses. La victime risque alors de plonger dans la dépression et aller parfois jusqu’au suicide.

Si la victime résiste toujours, il usera aussi de toutes les procédures de « justice » pour atteindre son but, « se protéger » !

Il est un redoutable procédurier, ce qu’est très rarement la victime qui évolue plus souvent sur le plan de la confiance.

Le Pervers Narcissique évolue dans une boue visqueuse qui fait partie intégrante de lui et qui a la particularité de digérer la victime pour se nourrir de sa substance.

Les seuls droits et devoirs sont ceux qui vont nourrir son ego.

Je pense que c’est une personne particulièrement vide et qui possède la perfection sublime de l’art de la trahison pour vivre dans cette ombre nauséeuse. Sans sa victime, le pervers narcissique reste insignifiant.

Pourtant, il a bien souvent une position sociale importante, ce qui d’ailleurs tend à rassurer la victime potentielle qui aura l’impression d’être valorisée par cette rencontre pourtant mortelle.

Bien souvent, il doit déjà son statut aux personnes qu’il aura manipulées dans le passé.

Isabelle Nazare-Aga a pu poser 30 critères qui tendent à définir le Pervers narcissique.

Nous pouvons tous nous y reconnaître, peu ou beaucoup.

Le manipulateur rassemblera plus de dix de ces points.

Geneviève Schmit

~ par Groupe de Recherche le 6 juin 2009.


Approche globale et personnelle

de Geneviève Schmit

pour se sortird’une

relation avec un

PerversNarcissique.

La victime du pervers narcissique met en général du temps à réaliser la complexité et la gravité du piège dans laquelle elle se trouve.

Ce piège tend à se refermer en douceur, comme un boa constrictor qui vient posément étrangler sa proie.

Lorsqu’elle se rend compte de cette emprise, les anneaux sont déjà là, parfaitement enroulés autour d’elle.

Leur pression se fait plus violente dès que la victime commence à se débattre.

Une pression qui peut se faire par saccade, avec des moments d’apparents apaisement.

La victime va bien souvent s’endormir, comme privée d’oxygène, et lorsque la tension se fera trop grande, elle n’aura plus la force ni l’énergie nécessaire pour s’en sortir!

C’est pour cela que je dis que le Pervers Narcissique est vecteur d’une maladie mortelle pour l’autre !

Mon expérience personnelle m’a permise de comprendre de l’intérieur la complexité de ce drame.

Au travers de ma vision de « victime » et également de celle plus salvatrice de psychothérapeute, j’ai pu, non seulement commencer à comprendre, mais aussi à percevoir quelles seraient les aides, soutiens, techniques qui peuvent réellement accompagner la victime à reprendre sa propre vie en main.

Et c’est au fur et à mesure de ma propre libération, que j’ai commencé à définir une approche pragmatique permettant de sauver ce qui peut l’être dans un premier temps, et ensuite de se reconstruire.

J’ai la chance d’avoir appris de nombreuses techniques d’accompagnement au mieux être et également de réalisation d’un objectif.

Elles ont trouvés, pour la plupart, leur place dans ce travail vital.

Il est important de se rendre compte du conditionnement profond que subit la victime. Un conditionnement dont elle n’est pas toujours consciente.

Il se fait par ces « messages contradictoires » entre autres qui font évoluer la victime dans des hauts et des bas émotionnels jusqu’à son épuisement et dissolution complète.

Ces messages confusionnants font que, en cas de besoin, le Pervers Narcissique pourra aisément justifier sa pseudo « bonne foi » et ainsi responsabiliser sa propre victime de la situation vécue. Celle-ci, déjà conditionnée par ces non dialogues constants, aura tendance à se croire effectivement coupable ou même, elle même perverse, et ainsi cherchera en vain toutes les solutions possibles pour rétablir une certaine harmonie.

Le mode de communication du Pervers Narcissique fait que la victime ne pourra jamais avoir raison, même de l’évidence.

Le Pervers Narcissique jouera très habilement de tout ceci en renversant les rôles d’une situation qu’il ne peut assumer, et en accusant sa victimes des faits qui le caractérisent.

Le Pervers Narcissique va osciller entre menaces, chantages, violences et demandes de pardon, déclarations amoureuses, tendresse infinie…

L’évolution peut se faire lentement, sournoisement sans que la victime puisse mettre de mots sur ce qu’elle ressent. Elle va jusqu’à se conditionner inconsciemment pour nepercevoir que le bon du Pervers Narcissique et tente d’occulter immédiatement le mal, pour moins souffrir. On entre dans une résilience morbide.

La victime se trouve devant un personnage qui est incapable de se remettre en question, pourtant, elle va encore et encore s’épuiser à tenter de lui faire prendre conscience des impacts de agissements sans pour autant le juger….

Elle espère toujours lui faire quitter la boue pour la Lumière.

Le Pervers Narcissique ne peut prendre conscience pour la bonne raison qu’il est incapable d’assumer la réalité des faits et d’assumer la paternité de ses conséquences.

De plus, n’étant pas dans la souffrance, même si parfois il l’affirme, il n’a aucune raison de modifier son comportement.

La victime se berce dans l’illusion que quelque chose peut changer afin de ne pas se trouver devant la seule réalité: il faut fuir !

Il arrive très souvent que la Pervers Narcissique se repose sur les valeurs de sa propre victime pour assoir son pouvoir.

Le Pervers Narcissique jouera facilement de ceci en renversant les rôles et en accusant la victimes des faits même qu’il pose constamment.

Quitter le Pervers Narcissique, est quelque chose de terriblement difficile.

Les sentiments contradictoires se mêlent. Il y a la peur, bien sur, mais aussi un amour inconditionnel. Une sensation que la vie ne peut se poursuivre sans lui!

La victime se sent bien souvent incapable même de vivre sans lui!

De plus, la plupart du temps, la victime se retrouve totalement seule, car le Pervers Narcissique l’aura isolée du reste du monde pour mieux la manipuler à sa guise.

Un sentiment de honte peut aussi empêcher la victime de demander de l’aide.

Après tout, qui peut comprendre que l’on ne puisse pas quitter celui qui nous tue ?

C’est lorsque la victime trouve suffisamment de lucidité qu’elle devient « dangereuse ». Dès lors, la mise à mort semble irréversible.

L’objet du problème n’existant plus, le problème n’existe pas.

Lutter contre ce Fou est malheureusement pratiquement impossible car jamais la victime ne pourra exceller dans l’art de la manipulation, de la dissimulation, du mensonge, des procédures.

Bien souvent terrorisée, la victime sera contrainte de laisser le prédateur agir à sa guise.

Celui-ci est capable de continuer à détruire sa victime alors même qu’elle se trouve déjà à terre. Rien ne semble pouvoir l’arrêter et il trouvera des appuis complaisant dans ceux qui l’entourent et à qui il passera un message complètement faux, mais suffisamment convainquant.

Même la justice ne semble pas pouvoir à l’heure actuelle, définir le Pervers Narcissique et donc le contrer.

Il n’est donc pas rare de voir ces Fous continuer de vivre en toute quiétude, laissant derrière eux, le cadavre de ceux ou celles qui lui ont donné leur âme.

Lorsque la victime a pu survivre à ce massacre, qu’elle a la force de regarder son chemin, elle se rendra souvent compte de tous les signes annonciateurs qu’elle a parfois vu mais dont elle a choisi de ne pas tenir compte.

Elle remarquera aussi que le Pervers Narcissique avait dès le début de la « relation », fait des « dossiers » dans son esprit, et parfois plus concrètement, afin de pouvoir les utiliser en cas de besoin….

Leur mode de fonctionnement est totalement calculateur et de la manière la plus sombre qui soit.

C’est un sombre stratège de la pire espèce. Un traitre pour qui tous les coups sont permis.

Un sombre personnage qui continuera de détruire sa victime alors qu’elle est à terre en continuant de la détruire psychiquement, en la mettant parfois dans l’incapacité de se défendre par la ruine financière, en la laissant dans l’incompréhension sociale et donc totalement seule face à sa perte.

  • aspect de la destruction (psychologique, morale……
  • art qu’à la victime pour justifier et excuser le pervers
  • Le PN ne fait aucune différence entre le bien et le mal
  • tentative de dialogue tjs avortée. Refus du dialogue du PN
  • S’approprie toutes les gloires
  • La victime peut s’en sortir car elle est en danger de mort. Le PN n’est pas en danger et n’a donc pas besoin de modifier son comportement.
  • Il est assoiffé de lui!
  • La pitié de la victime qui a pu mettre un mot (PN) sur le comportement du bourreau. Attention au syndrome de Stockholm
  • Le PN ne sais pas aimer. Il n’a jamais appris l’amour sans condition.
  • Sa personnalité est construite sur un vide qu’il tente de remplir par l’énergie de l’autre (admiration, amour, peur, souffrance…) ceci contribue à lui donner son pouvoir
  • Propos toujours flous et à multiples facettes
  • La victime est en constante liaison avec le PN par la pensée qui peut devenir totalement obsessionnelle.
  • Le stress, la fatigue, l’épuisement, l’ennui engendre l’anxiété qui engendre les pensées obsessionnelles
  • au départ de la relation: c’est trop beau!
  • PN coupe le contact, la communication, silence radio.
  • Il est incapable de prendre des décisions

Les pervers narcissiques n’éprouvent aucun respect pour les autres, qu’ils considèrent comme des objets indispensables à leurs besoins de pouvoir, d’autorité, ou servant leurs intérêts.

Ils prennent des engagements qu’ils ne tiendront pas, sachant que les promesses n’engagent que ceux qui y croient et qu’ils s’estiment au dessus des lois.

Pris en flagrant délit de mensonge, ils sont capables de nier avec un aplomb hors du commun jusqu’à faire douter l’autre !

Ils savent parfaitement et avec une grande détermination défendre leurs intérêts dont ils ont toujours une vision très claire. Ils essaient de profiter instinctivement de toutes les opportunités, de toutes les personnes rencontrées, et ces personnes sont systématiquement instrumentalisées pour en tirer, autant que possible, avantage pour eux. Comme pour tous les narcissiques, tout leur est dû. Ils n’admettent aucune remise en cause et aucun reproche.

Lorsqu’il sont dans une dualité, dans l’obligation de faire choix qu’ils ne peuvent esquiver, ils peuvent entrer dans des états psychotiques et deviennent alors particulièrement dangereux et impitoyable.

Les pervers narcissiques sont incapables d’aimer les autres. Dans leur immense majorité, ils n’ont aucune «humanité», aucun sentiment humain, aucun état d’âme, aucun affect. Ils sont froids et terriblement calculateurs. Ils sont capable d’enregistrer dans leur mémoire des petites choses qu’ils utiliseront ensuite en les amplifient afin de justifier leurs attitudes néfastes. La souffrance d’autrui vient comme les nourrir, amplifiant ainsi l’estime d’eux-même et cela même si ce n’est pas toujours conscient. Mais tout en étant, le plus souvent, incapables d’avoir des sentiments humains, ils simuleront parfaitement le fait d’être emplis de bons sentiments, rempli d’amour altruiste et d’une sincère empathie pour autrui. Ils adorent « construire » l’autre, quitte à le détruire pour pouvoir à nouveau le construire et en retirer la reconnaissance inconditionnelle…

Les déceptions entraînent chez eux de la colère, du ressentiment ou même de la haine avec un désir viscéral de revanche. Cela explique la rage destructrice qui s’empare d’eux lors des séparations ou des confrontations. Quand un pervers perçoit une blessure narcissique (défaite, rejet), il ressent un désir illimité d’obtenir une revanche. Ce n’est pas, comme chez un individu coléreux, une réaction passagère et brouillonne, c’est une rancune inflexible, implacable à laquelle le pervers applique toutes ses forces, ses capacités de raisonnement et son intelligence aigüe. Et alors, il n’aura de cesse d’assouvir son dessein de vengeance.

Les pervers narcissiques ont souvent besoin de haïr pour exister. La haine peut être chez eux un moteur très puissant.

Souvent, le pervers narcissique est quelqu’un qui n’a jamais été reconnu dans sa personnalité propre, qui a été victime d’investissement narcissique important de la part de ses parents et qui a été obligé de se construire un jeu de personnalités (factices), pour se donner l’illusion d’exister. On peut dès lors trouver comme une sorte de schizophrénie avec de multiples personnalités.

Du fait d’une histoire personnelle, où il ont été, par exemple le bras armé d’un de leurs parents, les pervers n’ont pas pu se réaliser. OU alors, ils ont dû correspondre parfaitement à l’attente des parents pour s’assurer leur amour indéfectible à vie.

Les pervers narcissiques ne sont jamais sincères, toujours menteurs, et cela depuis leur plus tendre enfance. C’est en quelque sorte leur mode de fonctionnement, une capacité mise en place instinctivement afin d’être capable de correspondre à l’attente des autres (parents). Ils peuvent aussi bien dire la vérité que mentir avec aplomb. L’interlocuteur ne sais plus alors discerner le vrai du faux. Le plus souvent, ils effectuent des falsifications de la vérité, qu’on ne peut pas vraiment qualifier de mensonges, et encore moins de constructions délirantes. Mélanger le mensonge, la sincérité et la franchise —ce qui est, pour l’autre, très déstabilisant— fait partie de leur jeu.

On aborde alors les « messages contradictoires » qui sont une des armes privilégiée du Pervers Narcissique pour déstabiliser puis épuiser sa victime.

Le déni (de leurs défauts, de l’autre) leur permet de «s’aimer» et de s’aimer toujours plus. Ils se mentent à eux-mêmes, sur leur vraie valeur, sur ce qu’ils sont réellement, mais finissent par prendre cela pour la seule réalité. Ils se sentent intouchables, puissants et irrésistibles. A certains moments, ils finissent par croire à leur mensonge, à d’autres, ils en ont conscience. C’est toute l’ambivalence de la pathologie mythomane. Le pervers narcissique est un «comédien né». Ses mensonges à force d’entraînement sont devenus chez lui une seconde nature, une nécessité.

Sa palette de personnalités, de personnages, d’émotions feintes est étonnante. L’éventail de son jeu d’acteur est infini, sans cesse renouvelé.

Il donne le plus souvent l’image d’une personne parfaitement calme, ne s’énervant jamais.
Le pervers narcissique est le plus souvent doté d’une combativité extrême et d’une capacité de rebond remarquable. Sa mégalomanie, son narcissisme, voire sa paranoïa, renforcent cette combativité. Souvent immensément orgueilleux, voire mégalomane, le pervers narcissique a un besoin vital de gagner, à tout prix, sans fin, et ne peut admettre, une seule fois, de perdre. Il est prêt à tout, même aux coups les plus bas, pour ne jamais perdre. Il tends également s’attribuer le mérite qui revient à d’autres afin de se remplir de plaisir.

Le pervers est comme un enfant gâté. S’il ne rencontre pas de résistance, il ira toujours plus loin. La résistance, elle, le poussera à rassembler ses forces pour les annihiler.

A la longue cette tendance, qui peut lui assurer une dynamique du succès pendant un certain temps, devient une addiction. Signe de sa mégalomanie, elle la renforce en retour, et l’amène à ne plus pouvoir tolérer la moindre frustration ou contradiction.

Le pervers narcissique a le talent de diffamer sans avoir l’air d’y toucher, prudemment, en donnant l’apparence de l’objectivité et du plus grand sérieux, comme s’il ne faisait que rapporter des paroles qui ne sont pas les siennes. Souvent il ne porte pas d’accusation claire, mais se contente d’allusions voilées, insidieuses. Il aura beaucoup d’habilitée à sortir du contexte un fait, une phrase, pour la tourner à sa guise s’attribuant ainsi la sympathie et l’ adhésion de l’entourage.

A la longue, il réussira à semer le doute, sans avoir jamais prononcé une phrase qui pourrait le faire tomber sous le coup d’une accusation de diffamation.

Ma vie fut extrêmement catastrophiée par le comportement de la mère de mon enfant. J’ai découvert, avec le temps, qu’elle ne raisonne malheureusement pas comme nous et qu’elle est capable d’instrumentaliser, de culpabiliser, de manipuler voire de détruire son enfant  pour parvenir à ses fins, à savoir me détruire moi, celui qu’elle considère encore comme l’ esclave de ses desirs illégitimes  et non un mari qui a aussi  des droits comme des devoirs vis à vis d’elles de sa famille et de tous.
Ce type de comportement est malheureusement assez courant chez nous ,malheureusement pas assez analysé et recensé. Nous appelons cela des manipulateurs pervers ou encore pervers narcissiques. Ces gens fonctionnent différemment de nous, en général car un de leurs parents était ainsi. Ils ont été éduqués ainsi. Leur inconscient est ainsi. Ils ne peuvent s’en rendre compte ni raisonner comme nous.
Lorsqu’on est confronté à ce type de personne, il est fondamental de le comprendre pour parvenir ensuite à s’en sortir(Ce genre de personne ne se traite pas ,ne se raisonne pas,fuit les psy comme la peste et fait tout pour  éviter toute confrontation). Dans un couple,que ce soit pendant la vie conjugale ou  en cas de divorce,  le pervers narcissique impose un harcèlement moral tel que l’on peut en devenir fou si l’on ne comprend pas ce qui se passe. Cela a failli être mon cas
, avant que je tombe sur un site  internet qui m’a ouvert les yeux sur ce que je vivais comme un vrai hitchcok  et s’intitulant :

http://enfantsdudivorce.wordpress.com/

dont  l’auteur qui est français, est passé par le meme calvaire que moi et qu’un pédopsy lui a fait  comprendre ce qu’a son épouse et comment s’en sortir.

Je ne le remercierais jamais assez d’avoir mis son combat sur le Net ça m’a  aidé (et certainement d’autres internautes) à comprendre ce phenomène ravageur (quand on ne le comprend pas et qu’on continue à faire preuve de tolérance  et se comporter avec cette partenaire comme si c’était quelqu’un de normal alors qu’elle n’est pas normale mais plutot dangereuse !    https://sauverlinda.wordpress.com/les-bizarreries-ou-lodeur-de-la-manipulation-corruptrice/ )

Le pervers narcissique use la pire de toutes les manipulations tant les dégâts qu’elle occasionne sont dévastateurs et systématiques.

L’expression « pervers narcissique » est utilisée en psychopathologie pour désigner les individus présentant une personnalité marquée à la fois par un narcissisme exacerbé et des traits de perversion morale.

Pour reconnaitre le pervers narcissique, voici le profil complet :
http://profil-pervers-narcissique.blogspot.com
DES TEMOIGNAGES SVP!!!!!!
EN VOILA ,
http://psychopathe.wordpress.com/2009/06/06/le-pervers-narcissique-est-porteur-dune-maladie-mortelle-pour-lautre/

Témoignage par CHRIS


La manipulation mentale destructrice est pratiquée par un pervers narcissique. C’est une forme de violence sournoise très répandue au sein du couple ou de la famille.

Cette violence psychologique est difficilement détectable par leurs victimes et l’entourage, le manipulateur agissant subtilement en jouant de ses multiples personnalités, se servant de sonextraordinaire capacité à mentir mais aussi à faire croire tout et n’importe quoi à ses interlocuteurs.


N’étant que peu reconnue par une justice trop demandeuse de preuves à des victimes démunies, traumatisées, persécutées, discréditées et isolées socialement par leur bourreau, les victimes sont dans une situation qui leur permet rarement de s’échapper. S’ajoute aussi le fait que le manipulateur sur des années fait passer sa victime pour folle avec une grande intelligence, puisque la victime n’en sait rien.  Souvent dans une situation précaire financièrement, l’aide juridictionnelle ne permet pas d’avoir les moyens suffisants pour avoir un avocat qui fait le maximum, ni de payer les experts, ou autres qui apporteraient les preuves nécessaires pour que le pervers soit démasqué.


Il faut également savoir que le pervers sait s’entourer de personnes bien placées pour le soutenir dans ses agissements (dans mon cas c’est notre notaire, une intouchable qui l’a aidé à me dépouiller, ainsi que le comptable de l’entreprise qui a joué sur les écritures comptables, sa mère qui s’est servi de ses relations).

Il se sert judicieusement des enfants, de certains proches, et profite de toutes les situations de faiblesse de l’autre (ma grossesse difficile donc alitée durant 2 mois et les premiers mois épuisants avec un bébé, là il a mis le paquet pour me démunir, me mentir sur ses réels agissements et intentions).

La plupart des psy donnent encore injustement une part de responsabilité aux victimes dans le processus de la manipulation. C’est une idée reçue qui porte préjudice aux victimes, en les privant d’une véritable reconnaissance de leur souffrance sous prétexte qu’elles avaient un profil attirant ce genre de personne. Cela suppose à dire que le fait d’être humain, tolérant, compréhensif, plein de vie, suffit à être considéré responsable des violences subies.


Le manipulateur agit de telle sorte que sa victime ne se rend pas compte. Il choisit sa proie pour ses qualités qu’il s’approprie, il l’a fait vivre dans le doute, remettant en cause sans cesse ses compétences toujours de manière déguisée et sournoise. C’est unprocessus vicieux et inexplicable qu’il met en place peu à peu sur des années, perturbant et embrouillant sa victime.

Le syndrome d’aliénation parentale

http://www.paulwillekens.be/pw/pas.htm#2.1.2.4.

http://justice.pa-pa.normandie.over-blog.com/pages/Le_Syndrome_dAlienation_Parental_presentation-34998.html

Syndrome d’Aliénation Parentale : Comment le détecter et le traiter.

Par Michael BONE et Michael R. WALSH

Bien que le Syndrome d’Aliénation Parentale (PAS) soit un terme familier, il y a encore une grande part de confusion et de zones d’ombres sur sa nature, ses dimensions et par conséquent sa détection [1]. Son existence est cependant incontestable. Dans une étude longitudinale de 700 divorces  » hautement conflictuels  » suivis pendant 12 ans, il fût conclu que des éléments du PAS sont présents dans la grande majorité des cas [2]. Le diagnostic de PAS est réservé aux professionnels de santé mentale intervenant dans les tribunaux comme experts. Les éléments du diagnostic sont généralement décrits en termes cliniques qui restent vagues et ouverts à l’interprétation et, par conséquent, susceptibles d’arguments pour ou contre par des contre-experts. Le phénomène d’un parent montant l’enfant contre l’autre parent n’est pas un concept compliqué, mais historiquement il a été difficile à identifier clairement. Les dossiers impliquant le PAS sont donc hautement litigieux, pleins d’accusations et de contre accusations, et enlisent les tribunaux dans une recherche sans fin de détails qui se révèlent n’être finalement rien d’autre que des bruits de couloir. Notre expérience nous a montré que le phénomène PAS laisse des traces qui peuvent être identifiées plus efficacement en faisant abstraction des accusations hystériques, et en progressant dans une direction plus positive.

Pour aborder cet article, les auteurs supposent un bon degré de familiarité avec le PAS de la part du lecteur [3]. Il y a de nombreux bons écrits sur le PAS que le lecteur pourrait souhaiter consulter maintenant ou dans le futur pour son information générale. Notre propos est ici beaucoup plus étroit. En particulier, le but est double. D’abord, nous décrirons 4 critères spécifiques qui peuvent être utilisés pour identifier un PAS potentiel. Dans la plupart des cas, ces critères peuvent être identifiés à travers les faits du dossier, mais peuvent aussi être révélés lors des dépositions ou des témoignages en audience. Deuxièmement, nous voulons introduire le concept de  » tentative  » de PAS, c’est à dire quand les critères de PAS sont présents, mais l’enfant n’est pas aliéné avec succès du parent absent. Ce phénomène est néanmoins tout à fait désastreux et le fait que l’enfant ne soit pas aliéné ne doit pas être considéré comme neutre par le tribunal.

Toute tentative d’aliéner l’enfant de l’autre parent doit être vue comme violation directe et délibérée d’un des premiers devoirs de parentalité.

Les critères décrits ci-dessous sont clairement faciles à identifier indépendamment du dossier judiciaire. Quand il y a doute sur l’un d’eux, ces critères peuvent être utilisés pour guider l’avocat dans la déposition des témoins aussi bien que dans leur examen au tribunal.

Critère I : Entrave à la relation et au contact

Le critère I concerne l’entrave active à la relation et au contact entre l’enfant et le parent absent. L’argument utilisé pour justifier cette entrave peut prendre de nombreuses formes. Un des plus courants est celui de la protection. Il peut être argumenté que le jugement (la capacité ?)parental du parent absent est inférieur et alors l’enfant vit très mal les visites. Dans les cas extrêmes, cela peut prendre la forme d’allégations d’abus, très souvent d’abus sexuels. Cela sera traité plus en détails dans le critère II, mais il suffit de dire cela pour que ce soit une bonne raison pour suspendre ou même mettre fin aux visites. A un niveau plus courant et subtil, l’argument invoqué pour suspendre les visites est que le parent absent n’est pas  » stabilisant  » pour l’enfant et qu’ils ont besoin de temps  » pour s’y adapter « . Le message est dans ce cas-ci que le parent absent est considéré moins comme un membre clé de la famille et plus comme une connaissance agaçante que l’enfant doit voir de temps en temps. Au cours du temps, ceci peut avoir un effet sérieux d’érosion de la relation entre l’enfant et le parent absent. Une expression encore plus subtile de ceci est que la visite n’est pas  » commode « , la reléguant de ce fait au statut de devoir ou de corvée. De nouveau le résultat est l’érosion de la relation entre l’enfant et le parent absent ou  » ciblé « . Un phénomène souvent vu dans ce contexte est que la moindre entorse au programme prévu pour les visites est utilisée comme une raison pour supprimer complètement la visite.

Le fil conducteur de toutes ces tactiques est qu’un parent est supérieur à l’autre et par conséquent que celui-là doit être écarté de la vie de l’enfant. Le parent aliénant dans ces circonstances agit de manière inappropriée comme écran entre l’enfant et le parent absent. Quand ceci intervient pendant des périodes substantielles de temps, l’enfant reçoit le message non dit mais clair qu’un parent est supérieur à l’autre. Les plus jeunes enfants sont plus vulnérables à ce message et tendent à l’accepter sans esprit critique. Cependant, on peut toujours détecter des éléments faisant écho à ceci même au cours de l’adolescence. Le concept important ici est que chaque parent reçoive la responsabilité de promouvoir une relation positive avec l’autre parent. Quand ce principe est violé dans le contexte d’entrave à la relation sur une base consistance, on peut assurer que le critère I a été identifié sans aucun doute.

Critère II : Allégations non fondées d’abus

Le second critère est relatif aux accusations fausses ou non fondées d’abus à l’égard du parent absent. L’expression la plus stridente de ceci est la fausse accusation d’abus sexuel [4]. Il a bien été étudié que l’incident de fausses allégations d’abus sexuel compte pour plus de la moitié des cas étudiés, quand les parents divorcent ou sont en conflit sur des éléments postérieurs à la séparation [5]. Ceci est le cas en particulier avec les petits enfants qui sont plus vulnérables aux manipulations impliquées par de telles fausses allégations. Quand le dossier montre qu’au moins un rapport d’un tel abus s’avère non fondé, il est conseillé à l’enquêteur de rechercher d’autres expressions de fausses accusations.

D’autres exemples de ceci peuvent être trouvés dans les allégations d’abus physique que les enquêteurs montrent ultérieurement comme étant non fondées. Notre expérience nous a montré qu’il y a moins de fausses allégations d’abus physiques que d’autres formes d’abus, probablement parce que les abus physiques laissent des traces visibles évidentes. Ceci est évidemment beaucoup plus facile d’accuser mensongèrement quelqu’un de quelque chose qui ne laisse aucun signe physique et n’a pas de témoin tiers.

Une forme plus courante d’expression de ceci serait celle qualifiée d’abus émotionnel. Quand de fausses allégations d’abus émotionnel sont soulevées, on trouve souvent que ce qui est présent est en l’occurrence un jugement parental différent qui est considéré comme  » abusif  » chez le parent absent. Par exemple, un parent peut laisser un enfant veiller plus tard le soir que l’autre parent, et ceci peut-être considéré comme  » abusif  » ou  » préjudiciable  » à l’enfant. Ou un parent peut introduire son nouveau  » partenaire  » dans la vie de l’enfant avant que l’autre parent ne l’estime pertinent et ceci peut aussi être qualifié d’ »abus  » de l’enfant.

Alternativement, un parent peut engager un enfant dans une activité que l’autre parent désapprouve et cette activité est, en la circonstance, une différence d’opinion parentale qui est alors décrite comme étant abusive par nature. Ces exemples, aussi triviaux qu’ils puissent le sembler individuellement, peuvent conduire à la position de traiter la différence parentale dans des termes inappropriés de jugement subjectif. Suivant ce schéma, toutes les façons d’agir peuvent être présentées de façon à véhiculer le message d’abus, directement ou indirectement. Quand ce phénomène intervient littéralement des milliers de fois et de manières différentes, chacun semble insignifiant en lui-même, mais l’atmosphère émotionnelle qu’il crée induit un effet clairement aliénant sur l’enfant.

Evidemment, ce type d’acrimonie est très courant dans les séparations mais de tels conflits ne doivent pas nécessairement être mal interprétés ou pris comme une illustration du syndrome PAS. Cependant, ce critère est clairement présent et identifiable quand le parent est très motivé pour lancer violemment les allégations d’abus, plutôt que d’être réservé, prudent et même réticent à faire ainsi. Ce dernier cas est plus à mettre en relation avec la responsabilité du parent à encourager et à favoriser ouvertement la relation avec l’autre parent. Le parent responsable n’invoquera seulement des mauvais traitements qu’après avoir essayé et échoué d’expliquer pourquoi le problème en question ne constitue pas une maltraitance. En résumé, le parent responsable donnera à l’autre parent le bénéfice du doute quand de telles allégations surviennent. Il ou elle hésitera de quel coté pencher, alors que le parent aliénant ne ratera pas une occasion d’accuser l’autre parent. Quand cette attitude existe de manière claire et cohérente, ce critère du PAS est confirmé.

Critère III : Détérioration de la relation depuis la séparation

Le troisième des critères nécessaires pour la détection du PAS est probablement le moins décrit et identifié, mais est fondamentalement l’un des plus importants. Il est relatif à l’existence d’une relation positive entre l’enfant mineur et le parent absent ou  » non-résident « , avant la séparation du couple, et à sa dégradation substantielle ultérieure. La reconnaissance d’un tel déclin ne va pas de soi. C’est, de plus, l’un des plus importants indicateurs de présence de l’aliénation mais aussi la mesure de son  » succès  » relatif. A titre d’exemple, si un père avait une relation bonne et réciproque avec les enfants avant la séparation, et une relation très distante après, alors on peut à tout le moins supposer sauf preuves du contraire, que quelque chose a causé ce changement. Si ce père essaye clairement de maintenir une relation positive avec les enfants à travers des visites régulières et autres activités et que les enfants ne veulent pas le voir ou l’impliquer dans leurs vies, alors on pourra seulement spéculer qu’un processus d’aliénation a été mis en œuvre. Les enfants ne perdent naturellement pas l’intérêt pour le parent  » non résidentiel  » ni ne deviennent pas distant simplement en vertu de l’absence de ce parent. Aussi, des relations parentales saines et établies ne s’érodent pas naturellement. Elles doivent être attaquées. Alors, un dramatique changement dans ce domaine est toujours un indicateur virtuel qu’un processus d’aliénation a eu quelque succès dans le passé.

En particulier, si une évaluation soignée de la relation parentale avant séparation n’est pas faite, son omission crée l’impression que le trouble ou même le statut d’aliénation qui existe depuis est plus ou moins un résumé précis de ce qui existait auparavant. Remarquons que rien n’est moins sûr ! Une relation aliénée, partiellement aliénée ou de manière intermittente avec le parent non résidentiel et l’enfant après la séparation est plus précisément une distorsion de la réelle relation parentale en question. Sa mise à exécution conduit souvent à une atmosphère hystérique qui est souvent présente dans ces dossiers. Un praticien soigneux sait bien qu’un examen approfondi est nécessaire et qu’il doit être conduit avec la plus haute minutie et un examen rigoureux .

Si cette pièce du puzzle est négligée, les conséquences peuvent être dévastatrices pour la survie de cette relation. Alors, sans cette composante, le tribunal peut facilement être tenté de conclure prématurément ou être trompé afin de penser que le trouble de l’environnement de séparation est représentatif de la vraie relation parent-enfant. Dès que ce jugement est prononcé par la cour, c’est un défi difficile de corriger cette perception.

A propos d’un problème différent mais qui est liée, on doit dire un mot à propos de l’utilisation d’experts. D’abord, il faut comprendre que tous les professionnels de santé mentale ne sont pas conscients ou ne savent comment traiter le phénomène PAS. En fait, quand un professionnel de santé mentale peu familier avec le PAS est consulté pour une recommandation au sujet du droit de visite et d’hébergement ou des problèmes liés, il ou elle peut potentiellement faire plus de mal que de bien. Par exemple, si le psychologue néglige d’enquêter sur la relation avant la séparation avec le parent  » non résidentiel  » et l’enfant, il ou elle peut alors très facilement évaluer à tort que l’acrimonie actuelle est représentative de la relation, et recommander que l’enfant doit avoir moins de visites avec le parent, confortant évidemment ainsi la progression du PAS non diagnostiqué. Si cet expert néglige aussi l’évaluation critique des accusations d’abus ou le moment où elles sont apparues, elles pourraient être prises pour argent comptant et alimenter potentiellement un PAS non diagnostiqué. Si ce professionnel n’est pas aussi sensible aux subtilités de l’obstruction de l’accès et du contact que son initiateur, il ou elle pourrait potentiellement l’encourager, contribuant par là au processus de PAS . Quand ces choses arrivent, l’expert professionnel de santé mentale devient alors partie prenante du PAS quoique involontairement. Ceci est alarmant, et arrive souvent. Suffit-il de dire, si on soupçonne un PAS, que l’avocat doit attentivement et soigneusement évaluer l’investigation et la conclusion du professionnel de santé mentale. Ne pas le faire peut causer un dégât irréversible au dossier, et finalement à l’enfant.

https://sauverlinda.wordpress.com/une-page-que-je-dedie-a-la-pedopsy/plainte-presentee-au-president-du-conseil-de-lordre-national-des-medecins/

Critère IV : Réaction de peur intense des enfants

On considère que le quatrième critère nécessaire pour la détection du PAS est plus psychologique que les trois premiers. Il fait référence à une réaction évidente de peur de la part de l’enfant, de déplaire ou de contrarier le parent potentiellement aliénant à l’encontre du parent potentiellement cible. En résumé, un parent aliénant applique l’adage :  »  My way or the highway ». Si l’enfant désobéit à cette directive, en particulier en exprimant une approbation positive du parent absent, les conséquences peuvent être très sérieuses. Il n’est pas rare pour un parent aliénant de rejeter les enfants, en leur disant souvent qu’ils pourraient aller vivre avec le parent cible. Quand ceci arrive, on voit souvent que cette menace n’est pas mise à exécution , mais elle agit encore comme un message d’avertissement permanent. L’enfant, en effet, est mis dans une position d’être l’ » agent  » du parent aliénant et est continuellement confronté à divers tests de loyauté. La conséquence importante ici est que le parent aliénant force alors l’enfant à choisir ses parents. Ceci, évidemment, est en opposition directe avec le bien-être émotionnel de l’enfant.

Afin d’apprécier pleinement ce scénario, on doit réaliser que le processus PAS agit dans un environnement  » basé sur la terreur « . C’est l’installation de la terreur par le parent aliénant chez l’enfant mineur qui alimente la conduite dans cette voie.

http://www.facebook.com/profile.php?id=1307745103&ref=name (s’appretant à une sortie)

Cette peur conduit à ce que la psychanalyse nous dit être l’émotion la plus fondamentale inhérente à la nature humaine – la peur de l’abandon. Les enfants dans ces conditions vivent dans un état de désordre chronique et de menaces de représailles. Quand l’enfant ose vraiment défier le parent aliénant, ils apprennent rapidement qu’il y a un sérieux prix à payer. Ensuite, les enfants qui vivent de telles vies développent un sens aigu de la vigilance pour ne pas déplaire au parent aliénant. L’observateur sensibilisé peut le constater lorsque les programmes de visite changent subitement sans raison apparente. Par exemple, lorsque l’instant du rendez-vous approche, l’enfant change subitement d’humeur et commence à protester bruyamment contre une visite dont il ne s’était pas plaint auparavant. C’est dans ces circonstances qu’un tribunal, suspectant le PAS doit appliquer dans des termes stricts les visites programmées qui autrement n’auraient pas lieu ou seraient ignorées.

Le parent aliénant peut sembler le plus souvent désorienté face au changement soudain dans l’attitude de l’enfant à l’égard des visites. En fait, le parent aliénant apparaîtra souvent comme celui qui encourage les visites. Ce scénario est très courant dans les familles PAS. Il est standard car il dissimule, au moins pour un instant, la politique de terreur (ou le mécanisme de peur) sur lequel repose le processus d’aliénation. Une autre manière d’exprimer ce concept serait qu’à chaque fois que l’on donne à l’enfant le choix de la visite, il est mis en position d’exprimer sa loyauté à l’égard des souhaits du parent aliénant en refusant toute visite avec le parent absent. S’écarter de cela ouvre la porte à l’abandon de l’enfant par le parent avec lequel l’enfant vit la grande majorité du temps. Les enfants, dans ces circonstances, n’opteront pas de leur plein gré vers le libre choix. Le tribunal doit alors agir de manière expéditive pour les protéger et utiliser un éventail de remèdes spécifiques et disponibles [6].

En conséquence de ce qui précède, les enfants apprennent à manipuler. Les enfants choisissent souvent un parent au détriment de l’autre, dans une démarche visant à obtenir quelque avantage. Dans le cas du PAS, la même dynamique agit à un niveau plus désespéré. Car au delà de manipuler pour obtenir un avantage, les enfants apprennent à manipuler juste pour survivre. Ils deviennent experts avant l’âge pour décrypter l’environnement émotionnel, dire des vérités partielles, et enfin s’enliser dans les mensonges. On doit cependant rappeler que ce sont des stratégies de survie qu’ils ont été obligés d’apprendre afin de préserver la paix à la maison et éviter les attaques émotionnelles du parent gardien. Cette explication étant donnée, il est parfois plus facile de voir pourquoi les enfants, dans un effort pour gérer cette situation, trouvent souvent plus facile de commencer à intérioriser les perceptions du parent aliénant à l’égard du parent absent et commencer à faire écho à ces sentiments. C’est l’un des plus irrésistibles et dramatiques effets du PAS, c’est à dire, entendre un enfant vilipender le parent absent et rejoindre le parent aliénant dans de telles attaques. Si l’on n’est pas sensible au  » mécanisme de terreur  » au cœur de ceci, il est difficile de ne pas prendre les protestations de l’enfant pour de l’argent comptant. Ceci, évidemment, est conforté lorsque l’expert n’est pas sensible à cette puissante composante de terreur, mais croit que l’enfant exprime ses sentiments profonds en contrevenant par un plan de  » non visite « .

Conclusion

Tous les critères énumérés ci-dessus peuvent sembler indépendants les uns des autres dans les séparations hautement conflictuelles, mais rappelons que la présence de quelques uns d’entre eux ne constitue pas toujours un PAS. Cependant, lorsqu’ils sont présents tous les quatre, et si la possibilité de réels abus a été raisonnablement écartée, le processus d’aliénation parentale agit. Ceci ne veut pas nécessairement dire, cependant, qu’il réussira à ce que l’enfant soit aliéné avec succès du parent cible. Le meilleur indicateur prévisionnel d’une aliénation réussie est directement lié au succès du parent aliénant d’écarter les enfants du parent cible. Quand il y a des périodes substantielles au cours desquelles ils ne voient pas l’autre parent, les enfants sont plus probablement empoisonnés par ce processus. Une autre variable qui donne une indication du succès est l’âge de l’enfant. Les plus jeunes enfants sont généralement plus vulnérables que les plus âgés. Aussi, une autre variable est la profondeur et le degré d’implication de la relation parent-enfant avant la séparation. Plus la relation a été longue et engagée, moins les enfants seront vulnérables à une aliénation réussie. L’ultime indicateur est la ténacité parentale du parent cible. Un parent cible abandonne souvent et va vivre sa vie, augmentant considérablement les chances d’une aliénation réussie.

La question reste en suspends: que faire si les quatre critères sont présents, mais les enfants ne sont pas aliénés complètement ? Cet échec de l’aliénation doit-il être vu comme annulant la tentative d’aliénation ? La réponse à cela doit être résolument  » non ! « . Cela doit être, mais souvent ça ne l’est pas. Il est très courant de lire une évaluation psychologique ou un rapport de GAL* qui identifie le PAS mais remarque que puisqu’il a échoué, il ne doit pas être pris au sérieux. Rien n’est moins sûr. Toute tentative d’aliéner les enfants par rapport à l’autre parent doit être vue comme une violation directe et délibérée de l’un des premiers devoirs de la parenté, qui est de promouvoir et d’encourager une relation positive et affectueuse avec l’autre parent, et le concept de responsabilité parentale partagée.

C’est notre sentiment que quand une tentative de PAS a été identifiée, réussie ou non, elle doit être traitée rapidement par les tribunaux. Sinon, cela contaminera et contrôlera tranquillement tous les autres problèmes parentaux, et conduira seulement au malheur, la frustration et finalement à l’éloignement parental.


http://2parents.net/spip.php?article98

Une réaction d’une internaute qui dit long sur les dérapages:

Le Syndrome d’aliénation parentale

2 juin 2009, par chantal COTTET PYROplasticienne et ARTiviste

Les grands responsables du SAP sont nos politiques qui ne contrôlent pas l’institution judiciaire, alors qu’ils en ont l’obligation (c’est toute la leçon à tirer de l’affaire d’Outreau, avec le fait aussi que les « voies de recours » vers lesquelles nous renvoient les politiques n’existent pas : les décisions du juge Burgaud ont été confirmées par les 84 juges-putes qui ont statué sur les voies de recours des « victimes » d’Outreau). Responsables aussi les Ministres de la Justice et les Présidents de la République qui ont le devoir de saisir le Conseil Supérieur de la Magistrature lorsque des citoyens les informent de dérives commises par des magistrats. Car il n’y a pas de parent aliénant sans la complicité des juges-putes et des procureurs-ordures. Et ce sont ces juges-putes et ces procureurs-ordures qui commettent le pire en condamnant en correctionnelle le parent écarté pour non-paiement de la pension alimentaire à laquelle il a été abusivement condamné (comme dans mon cas où la pension que je devais verser à mon mari richissime a été calculée sur la base d’une HYPOTHETIQUE reprise de mon activité d’art plastique, COMPTE TENU DE MA NOTORIETE, -alors que dans le même temps les juges-putes reconnaissaient que mon mari avait détruit tous mes biens professionnels et que donc je ne pouvais pas exercer mon activité-). Car il faut savoir que la condamnation pour non-paiement de la pension est assortie de la condamnation pour ABANDON DE FAMILLE. Et cette condamnation pour ABANDON DE FAMILLE prononcée par ces juges-putes et ces procureurs-ordures retire définitivement au parent écarté son statut de père ou de mère. L’enfant n’a plus aucune obligation envers le parent condamné vieillissant et le parent écarté est alors entièrement à la charge de la collectivité. Vous savez que les maisons de retraite sont très couteuses et que lorsque la retraite du parent vieillissant ne suffit pas, les enfants sont mis à contribution, aussi j’invite les citoyens à engager une procédure pour ABANDON de FAMILLE pour ne pas avoir à payer les coûts exorbitants des maisons de retraite et en laisser la charge à la collectivité ; les politiques comprendront alors peut-être l’intérêt qu’il y a à réformer cette justice de merde ! Chantal COTTET représentante www.collectif-justice.net http://ministere-crise-justice.over… http://collectif-justice.over-blog.cominfo@collectif-justice.net

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