وحيث أن العدل أساس العمران فان انعدامه لا يمكنه الا أن يؤجج العصيان المدنى و زيادة السخط الشعبى…
فان خرج علينا…. بن على…. بكذبة » أنا فهمتكم….أينعم أنا فهمتكم »
فاليوم يخرج الشعب للتوجه لوزارة العدل بقول « الشعب فهمكم، اينعم فهمكم و سيقطع دابر كل فاسد فيكم…
.ليس كما حصل فى ساحة الكونكورد …
أخذنا الدرس و العبر من كل أوجه الفشل السابقة ولن تخدروا الشعب بصوت الاعلام العفن المتعنت فى سياسة فرق تسد.
ذلك الاعلام الذى يقصى الاعلاميين النزهاء الذى ليس لهم الولاء الا للحقيقة و لا يقدرون على الانصهار فى منظومة قول الزور النظامية والذين لن تلجموا صوتهم مهما فعلتم و مهما استنجدتم بخبراء الدمغجة و التعتيم المتواجدين على الساحة (والمستنسخين على شاكلة برهان بسيس) و الذى سيحاسبهم الشعب اجلا أم عاجلا من أجل التظليل و التغرير بالرأى العام الجريمة التى لا يمكنها الا أن تلاصق جريمة الخيانة العظمى.
بعيدا عن الحسابات الحزبية الضيقة فالشعب التونسى، مهما تحكمتم فى وسائل الاعلام و مهما اخترقتم المواقع و المنابر التعبيرية الحرة بما فيهم موقعى، لا زال يقف صفا واحدا فى وجه كل من يحاول أن يدوس ولو بندا واحدا من الثلاثين بندا الذى جاء بها الاعلان العالمى لحقوق الانسان،
انه شعب وليس بقطيع … لن يخلد للنوم حتى تفقهوا جيدا معنى الكرامة…
ارحلوا فربما نستحق يوما ما خدماتكم ويناشدكم الشعب لكفاءتكم فى » رعاية الماشية » فى صلب وزارة التغذية…
ربما تسترجعون هكذا انسانيتكم بتوظيف قدراتكم فى تحقيق أحدى حقوق الانسان ألا وهى التغذية…..
الشعب كره كلمة السلطة لأنها مصدر التسلط وكره كلمة سيادة الرئيس فأى سيادة لموظف دولة؟
فلا سيادة الا للشعب بديمقراطية تبدا محليا من القاعدة و تكون جدارا منيعا ضد عودة الاستبداد بأى وجه كان….
وضعنا فى 14 جانفى أول ثقب فى الجدار العازل الذى كان يحول دون ممارستنا لحقوقنا الانسانية المشروعة.
وجداركم فى تداعى متواصل وأداؤكم يزيد فى وهن على وهن.. سكتم و تسترتم على من سفك دماء التونسيين الأبرياء العزل…..
ستضل الثورة هى كلمة الوضع الراهن ضد كل من يريد الدفع بالشأن الوطنى الى الوراء الذى امتد لكل قطاعات الحياة اليومية من جراء انعدام أى مؤشر للاستقامة و سلامة النية من طرف المسؤولين الواقفين على الاعلام و على منظومة العدالة .
http://www.evene.fr/cinema/films/une-semaine-sur-deux-24119.php?video
Cela se passe en france ,où les enfants ont droit à la continuité avec leurs deux parents.
Je vie en tunisie,
On institutionnalise la coupure de l’enfant de son papa,si t’es un bon papa on te rendra la vie dure :Réclamer ce droit vous fera passer pour paranoiaque .
Ceci est un document qui m’a été remis par dr msaddak jebnoun le lundi 25 janvier 2010 .
Est-ce ce « on « qui, jusqu’à ce jour,a:
1/a fait obstacle à l’ouverture d’une enquete sur l’abus de confiance opéré par ma femme qui a volé mes affaires personnelle et kidnappé ma fille?
2/qui a fait obstacle à l’enquete sur les faux témoignages manifeste qu’a présenté ma femme et qui a bien étouffé toute enquete sur le document skype qui montre clairement une femme à la moralité des plus douteuses et des plus viles?
3/qui a été derrière la coupure manifeste de ma fille par des decisions de lois des plus aberrantes qui m’ont coupé de ma fille geographiquement et temporellement(visite deux fois par mois ,ni fetes ni vacances pour plus d’une année! ) et qui refusait toute demande de revision de ces decisions aberrantes….mis à part du culot d’une juge des plus inhumaine qui m’avait dit texto »s’il vous arrive de croiser le regard de votre fille dans une grande surface ,faites comme si vous ne l’avez pas vue! » et l’autre qui vous dit votre femme a la garde et la tutelle et vous n’avez pas le droit de superviser les interet de ta fille!
Suite aux faux témoignages et la manipulation de ma fille par la maternelle de soliman,j’ai averti ma femme par voie de huissier que ma fille ne peut continuer ses études dans cette maternelle malsaine et que j’ai du transferer son inscription dans une autre maternelle (privé) dans la meme ville. Ma fille n’a pas été transférée! et la juge de famille n’a donné aucune explication à ce dérapage qui forçait l’aliénation de façon institutionnalisée le moins qu’on puisse dire!
4/baclé l’affaire 1216 (enfance menacée d’aliénation parentale):
enquete sociologique et psychologique dar chabène:
aucune enquete sur la période d’ avant la séparation où chacun de notre entourage proche et lointain aurait pu témoigner de la haute qualité de vie que j’offrais à ma femme et ma fille et mes qualités parentales qui défient toute concurrence.Aucune écoute de moi avec ma fille qui aurait pu dévoiler les comportements aberrants de ma femme à l’égard de ma fille où elle cherchait à creer des problemes là où il y’en a pas et faire obstacle à tout developpement de notre relation de père à fille!
qui a écarté, au père que je suis , toute possibilité d’entretien confrontant cette femme perverse de ses actes amoraux et irresponsables et tout entretien en presence de ma fille (ma fille a été écoutée 5 fois avec sa mère et sa grand mère qui la manipulaient et aucune fois avec moi ,alors que l’objet de mon signalement du danger sur ma fille était justement la manipulation de ma fille par ces deux femmes perverses qui l’on prise en otage et mis une chappe de plomb sur sa parole pour l’instrumentaliser comme bon leur semble ,la mettant dans la terreur chaque fois que son papa va la voir,et l’utilisaient comme un appat pour me nuire ,et les faux témoignages en sont un exemple)
Rapport tendencieux de la pédopsychiatre ahlem belhadj qui m’a écarté du rendez-vous et s’est permise d’aller au dela des regles de l’expertise et ne faisant aucune écoute de moi avec ma fille et a fait un rapport sur mesure pour ma femme (celle là l’avait meme contacté à korba ,lieu de son habitation!)
5/Est-ce que ce « on » est derrière le desistement de mes avocat en cours de route!
est-il aussi derrière le fait que la justice ai fermé l’oeil sur la collusion manifeste des avocats(maitre abdelli qui se desiste de mon affaire 4 jours avant l’audience et comme par magie ma femme prend pour avocat ,je cite maitre laaribi,l’avocat qui travaille dans le meme bureau que abdelli! de tout les avocats ma femme n’a t-elle trouvé que celui là ,installé à tunis à monplaisir? il est évident que cela ne peut-etre une coicidence?
6/Est-ce que ce « on » serait aussi derrière le silence du ministère face à tout les dérapages que j’ai signalé et qui sont gravissimes(falsifications de pv entre autre!)????,
7/Est-ce que ce « on » serait derrière le piratage de ce site et la suppression de 22 articles pour le deformer de son but?
8/Est-ce que ce « on » est derrière la mise en geole d’un père medecin ,menottes aux poignet,parcequ’il a du emmener sa fille au psy que durant une année il n’arrettait pas de demander une expertise parentale et une expertise sur les rapports avec sa fille que cette femme cherche à salir et entourer d’une compagne de diabolisation injustifiée? de surcroit que cette femme n’a pas voulu récuperer sa fille des qu’il avait fini son expertise aupres du psy?
Ce on a laissé libre cours à l’instrumentalisation de votre enfant que tu aimes et qui t’aime par une femme perverse dont la moralité est la plus douteuse une femme qui fait montre d’abus de confiance manifeste sur son mari,sur laquelle on ne veut pas enqueter .
une femme qui coupe son enfant de son papa n’est pas digne de s’occuper d’un enfant.
Couper un père de son enfant de façon aussi barbare ne peut laisser personne de marbre .
Vivant tout un calvaire pour reclamer mes droits et ceux de ma fille à une continuité,aujourd’hui je me dit j’aurais du etre un animal et pas un bon père conscient et responsable !
Cela fait plus d’une année que je n’ai aucun droit de regard sur ma fille…que je reclame mes droits et ceux de ma fille à une continuité.
Et jusqu’à ce jour aucune enquete sur les agissements pervers de ma femme…meme pas le droit de voir ma fille à l’école pour 2 mn et l’embrasser….
aucune délocalisation de mon affaire depuis grombalia malgres les plaintes que j’ai déposé aupres du ministère de la justice qui sont restées sans réponses,sans enquetes…..
une prote ction de l’enfance de nabeul complice de ce processus d’aliénation contre laquelle on a porté plainte au délégué général de l’enfance ,aussi resté sans réponse……
Deterioration gravissime de mon activité professionnelle(sachant que j’exerce en privé) qui était des plus prometteuses…..
deterioration de ma situation bancaire suite à ce calvaire qui m’oblige à un absentéisme inévitable ,à des arrangements financiers sans fin!
quelle concentration pourrais je avoir sur mon travail suite à cet homicide psychique…..combien un etre humain peut resister à tout cela!
un clan de sans honneur qui croient que tout se vend et tout s’achète de la meme étoffe de la salope de manel ben fadhel fille à la femme ordure marianne bregman …..qui ont pris ma fille en otage non pas dans une demeure mais dans une senia qui ferais office de dernier bastion de maison close (une simple enquete de police pourra le prouver si la police veut bien enqueter,car je n’ai ni l’éducation,ni le temps ni les moyens de le faire) et qui balottent ma fille entre les mains de personnes etrangères plutot que de la laisser se continuer avec son père,qui menacent la directrice de son école de retirer ma fille de son école si elle ose etre humaine et permettre ne serait- ce que de prendre ma fille dans mes bras le temps de 2 minutes(bon sommeil à la protection de l’enfance de nabeul…continuez à trahir votre mission!)…
ce combat n’est pas seulement le mien …des millions sont là mais qui ne se revelent pas parceque prostrés par ce que de tel partenaire pervers osent inventer et leur faire endurer sans que ces pervers ou perverses aient le moindre sentiment de culpabilité pour la grossierté de leurs actes plutot le contraire..ils s’en delectent…comme ma salope de femme qui se delecte de voir sa fille privée de son père ….Cette femme je pisse dessus et sur tous ceux et celles qui leur donnent la main dans leur crime!
لا تأسفن على غدر الزمان لطالما رقصت على جثث الأسود كلابا لا
تحسبن برقصها تعلو على أسيادها تبقى الأسود أسودا وتبقى الكلاب كلابا
Khaled Koubaa est un consultant indépendant en nouvelles technologies de l’information. Il fondateur et président du chapitre d’ISOC en Tunisie.
J’exige qu’une enquete soit ouverte pour identifier les acteurs qui ont été derrière la suppression des 22 articles du site sauverlinda…il est plus que clair à qui profite la suppression de ces articles…..ce qui est sûr c’est que c’est khaled koubaa qui est derrière ….et je l’invite à porter plainte pour diffamation s’il s’avère qu’il en est innocent ….c’est pas les témoins qui manquent !
Il ya une justice pour tout acte et chacun a droit de porter plainte mais pas le droit de censurer et de pirater un site pour induire la justice en erreur …c’est ça la démocratie petit khaled koubaa!
dommage que vous ne pourrez pas bénéficier des services de votre complice de ce complot sordide(car il est aussi impliqué que vous) ,maitre nafaa laaribi qui a préféré mélanger les pots entre le professionnel et le personnel et d’avocat s’occupant du champs de la protection de la propriété intellectuelle s’est confiné à se convertir en avocat s’occupant d’affaire matrimoniale en vrai suppot de satan (plaidoirie qui regorgent de mensonges grotesques qui ne trompent pas un oeil averti,et mouchard de la pire gamme s’entetant à camoufler la vérité et cherchant à couper coute que coute un père de sa fille pour sa cliente où on a du mal à deviner qui est le client de qui dans cette affaire…)faisant fi lui meme des regles élémentaire de la protection de la propriété intellectuelle dont il est bien censé detenir les ficelles!
Le juge n’a rien lu de ce document pour en deviner le fond et sa vocation qui était dénoncer un crime abominable commis sur un père par une famille organisée en association de malfaiteurs sans scrupule , sans morale et d’une perversion extreme et avec qui personne ne peut dialoguer!
Je me demande comment des juges de famille puissent etre embobiné de la sorte au point de ne meme pas faire le rapport entre les tenants et aboutissants et en ne spécifiant meme pas la date de l’abandon de son foyer conjugal ,et en reposant sur un document dont il n’a rien lu,ni analysé dans sa globalité avec toute la falsification qu’il a subit et qui de surcroit était rédigé à une année presque après qu’elle ai quitté le foyer conjugal et qui devrait poser tant d’interrogations qui ne pouvait que aboutir ‘à dévoiler un crime des plus abominable sur un père et son enfant commis par la personne meme qui lui présente le document !
il a confié la garde de ma fille à cette perverse et lui a ordonné une pension alimentaire à elle et à ma fille et me refusant sa garde!
Ma femme avait quitté le foyer conjugal depuis le 22 octobre 2008 sans raison aucune,de façon préméditée (le complot avait commencé avec la maternelle de ma fille à Nabeul)
https://sauverlinda.wordpress.com/2009/12/25/acte1quand-des-maitresses-decole-deviennent-complice-dun-complot-sordide-sur-une-enfant/volant mes affaires personnelles(aucune enquete n’a été conduite jusqu’à ce jour sur ma plainte que j’ai presenté dans ce sens pour abus de confiance et contre les faux témoignages qu’elle a concocté depuis soliman ce qui montrait clairement sa perversion morale extreme!),kidnappant ma fille et me coupant de cette dernière….alors que la rédaction de ce site a été rédigée fin Aout 2009! Apres tant d’aberrations de décisions de justice sur lesquelles personne n’a voulu enqueter!
Je dévoilerais cette association de malfaiteurs Marianne ben fadhel bregman_Manel Ben fadhel Khaled koubaa et tout leur associés….
Ce sera le premier debat que je t’ouvre à propos de la gouvernance d’internet….est-ce légitime pour le commun des mortel de dévoiler sur internet un crime sur lequel l’institution de justice reste sourde,ne veut ouvrir aucune enquete en rapport avec une enfant en danger de viol psychique collectif! et de surcroit est-ce réprimable de dénoncer un crime abominable sur un enfant et son père en ne sachant rien des regles de la déontologie journalistique auquelles il n’a jamais été enseigné!
si c’est le cas je suis pret à ce que la justice soit faite!mais qu’on mène toutes les enquetes demandées ! il y va de l’avenir d’un père et de son enfant …un père qui a fait preuve de toutes les retenues pour garder sa braise en sourdine…ne rien dévoiler du comportement pervers de sa femme par respect au lien conjugal et sa sacralité mais face à une justice sourde à sa demande d’expertise parentale où il pourrait exposer en toute discretion …il n’avait plus aucun choix pour proteger sa fille…le dernier espoir était la pédopsy « ahlem belhadj » et vous avez bien lu comment elle m’a écarté de l’entretien et fait un rapport tendancieux,c’est honteux comment on gère les interets des enfants comme un jeu de pouvoir et d’interets…cette escalade vous l’aurez voulue et vous l’avez eu!
c’était le 09 aout 2009 que j’arrive à l’exaspération face à tout les dérapage!:
Dénoncer un crime ça ne prends pas de gants….
Bande de malfrats vous avez l’air d’etre fier de commettre votre crime que vous pensez parfait alors qu’il n’ya pas de crime parfait!
Et en fils de bonne famille ,je vous rapelle une citation de jacque mesrine ,vous qui avez choisi la voie de la criminalité sur les droits d’un père et de son enfant de la façon la plus perverse:
« Il n’ya pas d’heros dans la criminalité! » vous ne restez que des minables et je préfère malgrès tout garder la confiance en notre justice pour enqueter avec professionnalisme sur cette triste affaire et sur votre association de malfaiteurs!
http://www.facebook.com/video/video.php?v=1177743159663&ref=nf
Cette femme peut toujours etre fière pour utiliser ses relations d’une façon des plus criminelles!
Alors allez-y je suis pret pour toutes vos plaintes! mais ne touchez plus à ce site!
Il est plus que claire à qui profite la suppression de ces articles!
et surtout l’article ..message de linda hmandi à manel ben fadhl que j’ai rédigé en présence de ma fille alors qu’on allait voir le psy pour une expertise parentale…
Il fallait qu’ils suppriment cet article qui va contre leur compagne de diabolisation à mon encontre et me coller une arrestation des plus arbitraire(par téléphone du procureur) pour kidnapping! lisez svp:
Elle vient avec une reliure des articles que j’ai ecrit sur « sauverlinda » ce site qui était mon dernier recours face à tant d’injustices où elle s’est entourée de toutes les pourritures pour deformer les vérités comme d’habitude…
elle demande divorce pour tort à cause de ce site. ce site a vu le jour en septembre 2009…alors qu’elle a quitté le foyer conjugal kidnappant ma fille et volant mes affaires .. le 22 octobre 2008 …voilà il y a une année 5 mois…
A ce qu’il parait dénoncer ses crimes passe pour de la diffamation…Mais c’est bien qu’on commence à s’interesser à internet….qu’on prenne les écrits au serieux….alors autant messieurs les juges commencer par enqueter:
1/Sur le document skype que vous avez occulté et qui l’incrimine sans équivoque que c’est bel et bien une perverse narcissique sans foi ni loi….https://sauverlinda.wordpress.com/document-skype/
2/Enqueter sur ce document « sauverlinda » où ses malfrat d’associés du diable (les pirateurs d’internet) ont supprimé 22 articles qui parlaient des méfaits du divorce et de toutes mes bonnes intentions envers la justice que je n’arettais pas d’attendre avec toutes les retenues du monde…qui ne venait pas ce qui ne pouver qu’attiser ma révolte…enquetez! enquetez …je n’attends que ça!
Allez y je veux qu’elle porte plainte et je serais là pour dévoiler les tenants et aboutissant de chaque chose!
Skype:
Ce site que j’ai trouvé comme mon seul porte parole face à toute les injustices et les mensonges grotesques qui ne peuvent émaner que d’une perverse narcissique (un profil des plus destructeur) et les derapages des decisions de justices qui encourageait ses escalades…(et où j’ai du contacter tout les niveaux de l’instance judiciares jusqu’au ministre mais sans aucune réponse) .
Alors que je cherchait à lui trouver des excuses et la clemence pour ces derapages,elle elle inventait les procedures les une derrières les autres et toujours avec l’imagination digne d’une mythomane d’une extreme perversion
COMBIEN DE RETENUE PEUT FAIRE UN PERE POUR PROTEGER SA FILLE!
PROTECTEURS DE L’ENFANCE? VOUS ETES UNE BANDE D’IGNORANTS DE TRAITRES A L’ENFANCE ABUSEE AU GRAND JOUR !
LISEZ BANDE D’IGNORANTS ! OUI BANDE D’IGNORANTS IMBECILES HEUREUX ET HEUREUSES INDIFFERENTS AU CALVAIRE DES PERES TUNISIENS !
1/L’Inculture sociétale et la resignation des papas
Que se passe-t-il lors d’un syndrome d’aliénation parentale ?
La perte d’un des parents bouleverse profondément le soi del’enfant,sa structure et sa substance.L’enfant se sent brisé
2/Dérapages pour ne pas dire « corruption » comprenant :
avocats taupes
juges prenant les citoyens pour des moins que rien,
police très correcte dans la dissimulation des indices
délégation de l’enfance fautive avec une bougie à la main
psy » el ghalba » ,
institutrices de niveau pré-historique ,pieds enfoncés dans le henné de la malhonetteté..
3/Deux femmes salopes, ou perverse narcissique pour etre linguistiquement correcte,
l’ex élue de mon coeur et
sa mère qui a réussi son coup de tourisme sexuel des années 70…croyant que la vie conjugale est séduction pour réveler par la suite sa vraie face : « tu marche dans ma combine ou je te rends la vie dure »….Une vermine qu’on abrite voila il ya trente ans sur notre sol tunisien dont elle méprise le peuple au point qu’elle n’aie jamais demandé de se faire naturaliser tunisienne(alors que d’autre l’on demandé à peine passé une année) et dont on essaye de dire aujourd’hui qu’elle est de confession musulmane alors qu’elle n’a jamais preté un jour un serment quelconque devant le mufti..(si on veut parler officiel maitre laribi le rigolo) qui n’a rien de catholique dans sa conduite….sa seule réligion est le profit…one vraie honte pour la hollande et à qui je dit non les hollandais ne sont pas un peuple sans foi ni loi comme elle essaye de donner l’exemple…et que c’est pas parcequ’elle a des connaissances au ministère de la justice qu’elle fera la victime…je la connais mieux que ses relations au ministère…elle pourra faire pousser ses mauvaises herbes mais loin de chez moi…
4/Lacunes juridiques ,pourquoi réviser des lois face à des citoyens qui ne réclament rien,qui n’ont aucune culture des droits de l’enfant et pour qui les enfants sont presque considérés comme une erreur de parcours conjugal ni plus ni moins et dont l’éducation repose sur le mot « sakkar fommok! »?
5/défis professionnels …..mon art dentaire qui ne supporte pas la médiocrité,et mes patients qui m’ont fait confiance et que je n’ai pas le droit de décevoir,pour qui les rendez-vous sont à la minute près…aujourd’hui leur médecin est comme dans un état comateux…
6/défis financiers…perturbation définitive de toute mes reserves…l’avalanche des chèques sans provision…comment un comateux peut payer quoi que ce soit?
7/défi familiaux….une maison paternelle qui risque d’etre confisquée pour la maudite somme de 16 millions…et ma famille à la rue…
Non certainement pas…et ce que je vous ai remis sous vos yeux comme documents ne sont ni hallucinations ni des visions de l’esprit :
c’est du noir sur blanc….mis à part ceux que j’ai gardé pour moi pour ne pas nuire à ma défense face à des adversaires malhonettes qui ont tant profité de ma transparence…
Je ne me tairais plus sauf si on me supprime la vie…et là bien sur je n’aurais aucun regret,j’aurais fait mon devoir…et de toute façon ça ne changerais rien je serais mort un jour ou l’autre ,si ce n’est pas aujourd’hui ce sera demain…personne ne m’intimidera donc…les chiens aboient et la caravane passe…
Et au passage ,ceux qui voudrons sortir la carte basse de la diffamation,qu’ils se presentent…il y a tout de quoi leur fermer la gueule et leur tirer le vers du nez! qu’ils avancent!cela fait longtemps que je les attends pour ce jour!
Et pourtant…mon combat continue et continuera contre tout vent,contre les traitrises de tout genre que je rencontre…car la culture a toujours payé cher contre l’inculture de ceux qui nous entourent….Galilé..socrates…et j’en passe…l’ont payé de leur vie!
Pourquoi,
parceque je veux pas que mon enfant paye le prix de l’ignorance,
de l’inculture,
du non- amour déguisé en amour….
j’ai mal choisi sa mère…j’en ai la certitude aujourd’hui
(je croyais bien faire dans le temps et j’ai payé trop cher ma tolérance…tant criée par nos filles tunisiennes abusées par des irresponsables le moins qu’on puisse dire!…)
Du moment que c’est une certitude…il fallait pas continuer dans l’erreur,je protège ma fille tout en assurant sa continuité avec sa mère…cette femme criminelle qui a voulu lui supprimer la vie à 5 mois de grossesse sans aucun remord…et où personne ne compte dans ce monde face à son interet! et à qui ,par ironie du sort on lui a confié la garde d’un enfant qu’elle n’a fait qu’instrumentaliser pour arriver à ses fins médicres comme d’habitude..
Ma fille a droit à une vie digne et je le ferais valoir…
Je ne suis nullement en contre courant de l’ordre des choses et j’adhère parfaitement au combat et à la colère du Pr.Maurice berger pour la cause de ces enfants abusés par des parents irresponsables,et à tant d’autres qui ont le mérite de sevir véritablement la cause des enfants par une implication inconditionnelle , par des travaux et des prises de positons qui forcent le respect…ce qui est déja loin d’etre le cas chez nous où certains pédopsychiatres tels que le Dr belhadj constituent un réel danger pour notre enfance du moment que le role d’expert n’est pas des moindre dans le processus de protection de l’enfance et où toute négligeance diagnostique pourrait etre fatale pour l’avenir de l’enfant…celle -là elle fait des rapports tendancieux comme on fait des baigners….
A ce sujet si personne n’arrive à me comprendre,une lecture de ce livre, comme début,pourra vous éclairer…non …vous secouer…tellement notre société…nos décideurs….en ont besoin:
alors qu’ils ont ratifiés tant de conventions internationales sur la protection de l’enfant , en matière d’abus émotionnel de l’enfant, ils légalisent les kidnapping des enfants et leur coupure de leur père! quoi de plus criminel?
Voila le livre dont je vous parle:
M. C.: Vous dites que d’autres juges, rigides, sont convaincus de la valeur intouchable du lien parent-enfant. Pourquoi s’identifient-ils ainsi aux parents et non aux enfants?
M. B.: En France, il existe un grand mythe qui voudrait que l’on trouve un équilibre entre les droits des parents et ceux de l’enfant. C’est une formule irréaliste. Un enfant est un être vulnérable, dépendant de son entourage, dont la personnalité est en construction. Il n’a pas toujours la parole, contrairement à ses parents. Finalement, soit on est ému par les parents, soit on en a peur. C’est le gros tabou chez les professionnels de l’enfance: on dissimule la peur que l’on éprouve face à des parents violents et dangereux. Je crois aussi que l’on ne veut pas s’identifier à ce qu’un enfant ressent, parce que c’est insupportable.
M. C.: La raison de cet aveuglement relève surtout d’une volonté d’ordre idéologique de maintenir à tout prix le lien familial, volonté que vous ne cessez de dénoncer…
M. B.: Pourquoi, en France, sommes-nous si obsédés par le lien du sang? C’est une question que l’on me pose souvent à l’étranger. Mes confrères italiens me disent: «Nous, nous sommes catholiques, la famille et la mamma sont sacrées… pourtant, nous n’hésitons pas à séparer l’enfant de ses parents toxiques.» Idem au Québec et en Grande-Bretagne. En France, pays à fonctionnement idéologique, les combats d’idées priment sur la réalité. Et la première idéologie, c’est la précarité: c’est parce que les parents sont pauvres qu’ils n’arrivent pas à s’occuper de leur enfant, qu’ils le maltraitent et le délaissent. Il est vrai que la pauvreté aggrave tout: les soucis, la déprime, la promiscuité. Mais dans les situations graves – elles ne sont pas rares – qui nécessitent des placements, les parents, avant d’être pauvres, sont des personnes qui ont des troubles psychiques, une impulsivité extrême ou une dépression permanente. Personne ne veut le reconnaître. Cela serait trop simple si c’était à cause de la précarité: la société serait donc responsable. Pourtant, les Etats-Unis se sont trompés avant nous, les autorités y ont même modifié les textes pour essayer de maintenir le lien biologique à tout prix. Les enfants ont donc été retirés de leur famille d’accueil pour retourner chez leurs parents. Plus de 10 milliards de dollars ont été investis pour aider les parents biologiques et évaluer les résultats, qui se sont révélés catastrophiques. Mais qui, en France, s’est donné la peine de lire ces travaux?
M. C.: En fait, on se refuse à penser qu’il existe des parents qui ne seront jamais capables de l’être…
M. B.: Tout à fait. En Italie, on parle de «parents intraitables», au Québec, «d’incapacité parentale permanente». En France, il est tabou d’affirmer que des parents sont incapables d’avoir une présence physique continue et pratiquent ce que l’on appelle le «délaissement parental prolongé». Mais comme on dit au Québec: «Un enfant n’est pas un appareil vidéo qu’on met sur pause.» Attendre en vain ses parents le destructure. Ou encore que se passe-t-il quand nous disons: «Ces parents n’y arriveront pas, en tout cas pas avant dix ou quinze ans»? On nous rétorque: «Mais, Monsieur, il faut que la situation évolue, que l’enfant retourne un peu chez ses parents.» Comme on refuse d’admettre que les parents n’évoluent pas, on réexpose l’enfant, qui sert régulièrement de testeur. Et quand ce dernier va de nouveau mal, on le retire: le test est positif!
M. C.: Le coût humain aussi est catastrophique. On ignore souvent que la maltraitance entraîne des déficiences intellectuelles…
M. B.: Dès la naissance, les enfants utilisent un mécanisme de défense qui est de geler leur intelligence et leurs sentiments: ils arrêtent de penser parce que ce qu’ils vivent est trop insupportable. Nous fabriquons des enfants déficients intellectuels. Là encore, nous touchons à l’idéologie. Combien d’équipes disent: «Moi, je ne veux pas tester les enfants, car je ne veux pas les enfermer dans des cases.» Nous, nous testons régulièrement leurs quotients intellectuel et de développement, afin d’évaluer notre travail. Ceux qui refusent de le faire évitent ainsi de rendre des comptes. Ces enfants ne progressent pas intellectuellement parce qu’ils n’ont pas non plus de figure ….
Hervé, tu déniches toujours un tas d’infos intéressantes.
On espère à chaque fois qu’un livre sort qu’il se passera quelque chose…
Les PN sont des personnalités difficiles à détecter.
Dès lors, il me semble qu’il est périlleux de pouvoir mettre en place quelque chose
sans que ça ne puisse devenir dangereux dans l’autre sens, à savoir ceux qui
abuseraient de l’info et accuseraient l’autre parent d’être PN.
Tous ceux qui font suivre leurs enfants par des pédopsy ou des psychologues avertis le savent : on ne règle pas ça en une ou deux séances.
Il faut des faits avérés. Il faut le témoignage de l’enfant aussi. Le vrai, celui qui laisse présager d’une vraie souffrance psychologique.
Personne ne se basera sur un seul fait.
Oui c’est dommage pour tous ces enfants.
Mais même si le chemin nous semble parfois long, si on est s’essouffle parfois, il ne faut pas perdre l’espoir que cela s’arrange.
Et ça finit par s’arranger, j’y crois fermement.
Maintenant, reste à la justice à former aussi les magistrats qui reçoivent des plaintes de réagir violemment et non légèrement comme j’en ai entendu parfois parler.
La juge de famille? ou la la ,un vrai ,non, un picasso des plus mal reproduits…celle là ne connais pas la médiation familiale…l’écoute de l’enfant…un sujet qui lui est etranger…c’est madame connait tout…je la laisse se plaire à opérer sous l’angle du copinage…du sectarisme féminin …le jour où elle sera mère elle reviendra me faire des excuses….
A suivre…Avec les salutations du Dr. Hmandi & de Linda Hmandi
Nous retrouvons cette pathologie plus particulièrement chez les hommes, mais certaines femmes l’ont également . Parfois notre compagnon ou compagne, parfois notre mère, notre fils…. Parfois il est notre collègue, notre patron et même un « ami » qui nous veut tant de bien…
Il peut être sympathique, altruiste, timide, dictateur…
Il se trouve partout, tapi dans l’ombre de son sourire bienveillant. Il est prêt à fondre sur sa proie avec une telle habileté que la futur victime ne s’en rends pas compte.
La « victime »…. Souvent une personne intelligente, brillante. Une personne qui cache pourtant une certaine faiblesse. Un faille dans laquelle le Pervers Narcissique aura un réel plaisir à s’engouffrer comme un drogué qui trouve enfin sa substance!
Cette victime aura sans doute été déstabilisée momentanée par une situation difficile et passagère, ou vivra une souffrance profonde et ancienne du genre « abandon », « solitude » créant ainsi la faille indispensable dans laquelle le Pervers Narcissique va s’engouffrer.
En tout les cas, il y a un besoin d’amour, de reconnaissance que ce rapace saura détecter dès le premier instant.
Il va doucement combler ces manques, par des démarches bienveillantes, prenant ainsi tout doucement sa place auprès d’elle.
C’est une sorte de danse, macabre sûrement. Une danse qui se rapproche d’une transe qu’il induit chez sa victime.
Il sais se rendre indispensable.
Le Pervers Narcissique, est un manipulateur hors pair.
Consciemment ou non, il sait endormir la vigilance naturelle de la victime potentielle.
**** Aie confiance / Crois en moi / Que je puisse / Veiller sur toi … ****
La chanson de Kaa, Le livre de la Jungle, Disney, 1967
Le Pervers Narcissique a un flair hors du commun lorsqu’il s’agit de détecter la victime dont il va se nourrir !
Le Pervers Narcissique n’a qu’une réalité, LUI.
Il n’a pas la même vision du bien et du mal que les autres humains.
La seule et unique chose qui compte pour lui, consciemment ou non, c’est lui!
Pourtant, au début de la relation perverse, il saura donner le change par des gestes d’apparente bonté d’âme. Toute la perfection de son art de la manipulation est en application.
Il est rare, que dis-je, très rare que la victime puisse s’en rendre compte, et cela même si elle est avisée! Tout au plus elle verra des signes, ressentira des alertes, entendra des mises en garde, mais l’emprise est déjà trop présente pour qu’elle ai « envie » de réagir. Car c’est bien cela me semble-t-il, la victime, à ce moment là de la relation perverse, aura bien souvent le sentiment de maîtriser la situation, de pouvoir changer les choses par son amour, ou par son intelligence….
C’est ce qu’il veut lui faire croire !
C’est déjà trop tard. Le piège se referme sur la victime.
Le Pervers Narcissique est un expert dans l’art du mensonge. Un art qu’il a acquis dans sa plus tendre enfance. En fait, c’est son mode d’expression et il peut fort bien ne pas s’en rendre compte.
Il excellera dans l’art de la conversation contradictoire, du discours paradoxal, de telle sorte que, très vite la victime ne saura plus où elle se situe, quoi penser, elle sera comme engourdie et se dira même bien souvent qu’elle est responsable de cette confusion. Il s’échappe ainsi habilement de toute opposition.
Le Pervers narcissique est incapable d’assumer la responsabilité de ses actes. Il retournera habilement la situation pour en rendre l’autre responsable. Et curieusement son habilité est telle que la victime doutera de son propre bon sens.
Le Pervers Narcissique évolue dans des affirmations, des menaces, des sous entendus suffisamment flous que la victime ne pourra récupérer pour le mettre en face de ses mensonges.
Et de toute façon, le Pervers narcissique est incapable de se remettre en question pour la bonne et simple raison qu’il n’a aucun problème (selon lui…)
Lorsqu’il sent une résistance de la part de sa victime il peut devenir dangereux, violent même et commencera à pousser la victime dans ses derniers retranchements en créant des situations compromettantes ou douloureuses. La victime risque alors de plonger dans la dépression et aller parfois jusqu’au suicide.
Si la victime résiste toujours, il usera aussi de toutes les procédures de « justice » pour atteindre son but, « se protéger » !
Il est un redoutable procédurier, ce qu’est très rarement la victime qui évolue plus souvent sur le plan de la confiance.
Le Pervers Narcissique évolue dans une boue visqueuse qui fait partie intégrante de lui et qui a la particularité de digérer la victime pour se nourrir de sa substance.
Les seuls droits et devoirs sont ceux qui vont nourrir son ego.
Je pense que c’est une personne particulièrement vide et qui possède la perfection sublime de l’art de la trahison pour vivre dans cette ombre nauséeuse. Sans sa victime, le pervers narcissique reste insignifiant.
Pourtant, il a bien souvent une position sociale importante, ce qui d’ailleurs tend à rassurer la victime potentielle qui aura l’impression d’être valorisée par cette rencontre pourtant mortelle.
Bien souvent, il doit déjà son statut aux personnes qu’il aura manipulées dans le passé.
Isabelle Nazare-Aga a pu poser 30 critères qui tendent à définir le Pervers narcissique.
Nous pouvons tous nous y reconnaître, peu ou beaucoup.
Le manipulateur rassemblera plus de dix de ces points.
Geneviève Schmit
~ par Groupe de Recherche le 6 juin 2009.
La victime du pervers narcissique met en général du temps à réaliser la complexité et la gravité du piège dans laquelle elle se trouve.
Ce piège tend à se refermer en douceur, comme un boa constrictor qui vient posément étrangler sa proie.
Lorsqu’elle se rend compte de cette emprise, les anneaux sont déjà là, parfaitement enroulés autour d’elle.
Leur pression se fait plus violente dès que la victime commence à se débattre.
Une pression qui peut se faire par saccade, avec des moments d’apparents apaisement.
La victime va bien souvent s’endormir, comme privée d’oxygène, et lorsque la tension se fera trop grande, elle n’aura plus la force ni l’énergie nécessaire pour s’en sortir!
C’est pour cela que je dis que le Pervers Narcissique est vecteur d’une maladie mortelle pour l’autre !
Mon expérience personnelle m’a permise de comprendre de l’intérieur la complexité de ce drame.
Au travers de ma vision de « victime » et également de celle plus salvatrice de psychothérapeute, j’ai pu, non seulement commencer à comprendre, mais aussi à percevoir quelles seraient les aides, soutiens, techniques qui peuvent réellement accompagner la victime à reprendre sa propre vie en main.
Et c’est au fur et à mesure de ma propre libération, que j’ai commencé à définir une approche pragmatique permettant de sauver ce qui peut l’être dans un premier temps, et ensuite de se reconstruire.
J’ai la chance d’avoir appris de nombreuses techniques d’accompagnement au mieux être et également de réalisation d’un objectif.
Elles ont trouvés, pour la plupart, leur place dans ce travail vital.
Il est important de se rendre compte du conditionnement profond que subit la victime. Un conditionnement dont elle n’est pas toujours consciente.
Il se fait par ces « messages contradictoires » entre autres qui font évoluer la victime dans des hauts et des bas émotionnels jusqu’à son épuisement et dissolution complète.
Ces messages confusionnants font que, en cas de besoin, le Pervers Narcissique pourra aisément justifier sa pseudo « bonne foi » et ainsi responsabiliser sa propre victime de la situation vécue. Celle-ci, déjà conditionnée par ces non dialogues constants, aura tendance à se croire effectivement coupable ou même, elle même perverse, et ainsi cherchera en vain toutes les solutions possibles pour rétablir une certaine harmonie.
Le mode de communication du Pervers Narcissique fait que la victime ne pourra jamais avoir raison, même de l’évidence.
Le Pervers Narcissique jouera très habilement de tout ceci en renversant les rôles d’une situation qu’il ne peut assumer, et en accusant sa victimes des faits qui le caractérisent.
Le Pervers Narcissique va osciller entre menaces, chantages, violences et demandes de pardon, déclarations amoureuses, tendresse infinie…
L’évolution peut se faire lentement, sournoisement sans que la victime puisse mettre de mots sur ce qu’elle ressent. Elle va jusqu’à se conditionner inconsciemment pour nepercevoir que le bon du Pervers Narcissique et tente d’occulter immédiatement le mal, pour moins souffrir. On entre dans une résilience morbide.
La victime se trouve devant un personnage qui est incapable de se remettre en question, pourtant, elle va encore et encore s’épuiser à tenter de lui faire prendre conscience des impacts de agissements sans pour autant le juger….
Elle espère toujours lui faire quitter la boue pour la Lumière.
Le Pervers Narcissique ne peut prendre conscience pour la bonne raison qu’il est incapable d’assumer la réalité des faits et d’assumer la paternité de ses conséquences.
De plus, n’étant pas dans la souffrance, même si parfois il l’affirme, il n’a aucune raison de modifier son comportement.
La victime se berce dans l’illusion que quelque chose peut changer afin de ne pas se trouver devant la seule réalité: il faut fuir !
Il arrive très souvent que la Pervers Narcissique se repose sur les valeurs de sa propre victime pour assoir son pouvoir.
Le Pervers Narcissique jouera facilement de ceci en renversant les rôles et en accusant la victimes des faits même qu’il pose constamment.
Quitter le Pervers Narcissique, est quelque chose de terriblement difficile.
Les sentiments contradictoires se mêlent. Il y a la peur, bien sur, mais aussi un amour inconditionnel. Une sensation que la vie ne peut se poursuivre sans lui!
La victime se sent bien souvent incapable même de vivre sans lui!
De plus, la plupart du temps, la victime se retrouve totalement seule, car le Pervers Narcissique l’aura isolée du reste du monde pour mieux la manipuler à sa guise.
Un sentiment de honte peut aussi empêcher la victime de demander de l’aide.
Après tout, qui peut comprendre que l’on ne puisse pas quitter celui qui nous tue ?
C’est lorsque la victime trouve suffisamment de lucidité qu’elle devient « dangereuse ». Dès lors, la mise à mort semble irréversible.
L’objet du problème n’existant plus, le problème n’existe pas.
Lutter contre ce Fou est malheureusement pratiquement impossible car jamais la victime ne pourra exceller dans l’art de la manipulation, de la dissimulation, du mensonge, des procédures.
Bien souvent terrorisée, la victime sera contrainte de laisser le prédateur agir à sa guise.
Celui-ci est capable de continuer à détruire sa victime alors même qu’elle se trouve déjà à terre. Rien ne semble pouvoir l’arrêter et il trouvera des appuis complaisant dans ceux qui l’entourent et à qui il passera un message complètement faux, mais suffisamment convainquant.
Même la justice ne semble pas pouvoir à l’heure actuelle, définir le Pervers Narcissique et donc le contrer.
Il n’est donc pas rare de voir ces Fous continuer de vivre en toute quiétude, laissant derrière eux, le cadavre de ceux ou celles qui lui ont donné leur âme.
Lorsque la victime a pu survivre à ce massacre, qu’elle a la force de regarder son chemin, elle se rendra souvent compte de tous les signes annonciateurs qu’elle a parfois vu mais dont elle a choisi de ne pas tenir compte.
Elle remarquera aussi que le Pervers Narcissique avait dès le début de la « relation », fait des « dossiers » dans son esprit, et parfois plus concrètement, afin de pouvoir les utiliser en cas de besoin….
Leur mode de fonctionnement est totalement calculateur et de la manière la plus sombre qui soit.
C’est un sombre stratège de la pire espèce. Un traitre pour qui tous les coups sont permis.
Un sombre personnage qui continuera de détruire sa victime alors qu’elle est à terre en continuant de la détruire psychiquement, en la mettant parfois dans l’incapacité de se défendre par la ruine financière, en la laissant dans l’incompréhension sociale et donc totalement seule face à sa perte.
Les pervers narcissiques n’éprouvent aucun respect pour les autres, qu’ils considèrent comme des objets indispensables à leurs besoins de pouvoir, d’autorité, ou servant leurs intérêts.
Ils prennent des engagements qu’ils ne tiendront pas, sachant que les promesses n’engagent que ceux qui y croient et qu’ils s’estiment au dessus des lois.
Pris en flagrant délit de mensonge, ils sont capables de nier avec un aplomb hors du commun jusqu’à faire douter l’autre !
Ils savent parfaitement et avec une grande détermination défendre leurs intérêts dont ils ont toujours une vision très claire. Ils essaient de profiter instinctivement de toutes les opportunités, de toutes les personnes rencontrées, et ces personnes sont systématiquement instrumentalisées pour en tirer, autant que possible, avantage pour eux. Comme pour tous les narcissiques, tout leur est dû. Ils n’admettent aucune remise en cause et aucun reproche.
Lorsqu’il sont dans une dualité, dans l’obligation de faire choix qu’ils ne peuvent esquiver, ils peuvent entrer dans des états psychotiques et deviennent alors particulièrement dangereux et impitoyable.
Les pervers narcissiques sont incapables d’aimer les autres. Dans leur immense majorité, ils n’ont aucune «humanité», aucun sentiment humain, aucun état d’âme, aucun affect. Ils sont froids et terriblement calculateurs. Ils sont capable d’enregistrer dans leur mémoire des petites choses qu’ils utiliseront ensuite en les amplifient afin de justifier leurs attitudes néfastes. La souffrance d’autrui vient comme les nourrir, amplifiant ainsi l’estime d’eux-même et cela même si ce n’est pas toujours conscient. Mais tout en étant, le plus souvent, incapables d’avoir des sentiments humains, ils simuleront parfaitement le fait d’être emplis de bons sentiments, rempli d’amour altruiste et d’une sincère empathie pour autrui. Ils adorent « construire » l’autre, quitte à le détruire pour pouvoir à nouveau le construire et en retirer la reconnaissance inconditionnelle…
Les déceptions entraînent chez eux de la colère, du ressentiment ou même de la haine avec un désir viscéral de revanche. Cela explique la rage destructrice qui s’empare d’eux lors des séparations ou des confrontations. Quand un pervers perçoit une blessure narcissique (défaite, rejet), il ressent un désir illimité d’obtenir une revanche. Ce n’est pas, comme chez un individu coléreux, une réaction passagère et brouillonne, c’est une rancune inflexible, implacable à laquelle le pervers applique toutes ses forces, ses capacités de raisonnement et son intelligence aigüe. Et alors, il n’aura de cesse d’assouvir son dessein de vengeance.
Les pervers narcissiques ont souvent besoin de haïr pour exister. La haine peut être chez eux un moteur très puissant.
Souvent, le pervers narcissique est quelqu’un qui n’a jamais été reconnu dans sa personnalité propre, qui a été victime d’investissement narcissique important de la part de ses parents et qui a été obligé de se construire un jeu de personnalités (factices), pour se donner l’illusion d’exister. On peut dès lors trouver comme une sorte de schizophrénie avec de multiples personnalités.
Du fait d’une histoire personnelle, où il ont été, par exemple le bras armé d’un de leurs parents, les pervers n’ont pas pu se réaliser. OU alors, ils ont dû correspondre parfaitement à l’attente des parents pour s’assurer leur amour indéfectible à vie.
Les pervers narcissiques ne sont jamais sincères, toujours menteurs, et cela depuis leur plus tendre enfance. C’est en quelque sorte leur mode de fonctionnement, une capacité mise en place instinctivement afin d’être capable de correspondre à l’attente des autres (parents). Ils peuvent aussi bien dire la vérité que mentir avec aplomb. L’interlocuteur ne sais plus alors discerner le vrai du faux. Le plus souvent, ils effectuent des falsifications de la vérité, qu’on ne peut pas vraiment qualifier de mensonges, et encore moins de constructions délirantes. Mélanger le mensonge, la sincérité et la franchise —ce qui est, pour l’autre, très déstabilisant— fait partie de leur jeu.
On aborde alors les « messages contradictoires » qui sont une des armes privilégiée du Pervers Narcissique pour déstabiliser puis épuiser sa victime.
Le déni (de leurs défauts, de l’autre) leur permet de «s’aimer» et de s’aimer toujours plus. Ils se mentent à eux-mêmes, sur leur vraie valeur, sur ce qu’ils sont réellement, mais finissent par prendre cela pour la seule réalité. Ils se sentent intouchables, puissants et irrésistibles. A certains moments, ils finissent par croire à leur mensonge, à d’autres, ils en ont conscience. C’est toute l’ambivalence de la pathologie mythomane. Le pervers narcissique est un «comédien né». Ses mensonges à force d’entraînement sont devenus chez lui une seconde nature, une nécessité.
Sa palette de personnalités, de personnages, d’émotions feintes est étonnante. L’éventail de son jeu d’acteur est infini, sans cesse renouvelé.
Il donne le plus souvent l’image d’une personne parfaitement calme, ne s’énervant jamais.
Le pervers narcissique est le plus souvent doté d’une combativité extrême et d’une capacité de rebond remarquable. Sa mégalomanie, son narcissisme, voire sa paranoïa, renforcent cette combativité. Souvent immensément orgueilleux, voire mégalomane, le pervers narcissique a un besoin vital de gagner, à tout prix, sans fin, et ne peut admettre, une seule fois, de perdre. Il est prêt à tout, même aux coups les plus bas, pour ne jamais perdre. Il tends également s’attribuer le mérite qui revient à d’autres afin de se remplir de plaisir.
Le pervers est comme un enfant gâté. S’il ne rencontre pas de résistance, il ira toujours plus loin. La résistance, elle, le poussera à rassembler ses forces pour les annihiler.
A la longue cette tendance, qui peut lui assurer une dynamique du succès pendant un certain temps, devient une addiction. Signe de sa mégalomanie, elle la renforce en retour, et l’amène à ne plus pouvoir tolérer la moindre frustration ou contradiction.
Le pervers narcissique a le talent de diffamer sans avoir l’air d’y toucher, prudemment, en donnant l’apparence de l’objectivité et du plus grand sérieux, comme s’il ne faisait que rapporter des paroles qui ne sont pas les siennes. Souvent il ne porte pas d’accusation claire, mais se contente d’allusions voilées, insidieuses. Il aura beaucoup d’habilitée à sortir du contexte un fait, une phrase, pour la tourner à sa guise s’attribuant ainsi la sympathie et l’ adhésion de l’entourage.
A la longue, il réussira à semer le doute, sans avoir jamais prononcé une phrase qui pourrait le faire tomber sous le coup d’une accusation de diffamation.
http://enfantsdudivorce.wordpress.com/
dont l’auteur qui est français, est passé par le meme calvaire que moi et qu’un pédopsy lui a fait comprendre ce qu’a son épouse et comment s’en sortir.
Je ne le remercierais jamais assez d’avoir mis son combat sur le Net ça m’a aidé (et certainement d’autres internautes) à comprendre ce phenomène ravageur (quand on ne le comprend pas et qu’on continue à faire preuve de tolérance et se comporter avec cette partenaire comme si c’était quelqu’un de normal alors qu’elle n’est pas normale mais plutot dangereuse ! https://sauverlinda.wordpress.com/les-bizarreries-ou-lodeur-de-la-manipulation-corruptrice/ )
L’expression « pervers narcissique » est utilisée en psychopathologie pour désigner les individus présentant une personnalité marquée à la fois par un narcissisme exacerbé et des traits de perversion morale.
Témoignage par CHRIS
La manipulation mentale destructrice est pratiquée par un pervers narcissique. C’est une forme de violence sournoise très répandue au sein du couple ou de la famille.
Cette violence psychologique est difficilement détectable par leurs victimes et l’entourage, le manipulateur agissant subtilement en jouant de ses multiples personnalités, se servant de sonextraordinaire capacité à mentir mais aussi à faire croire tout et n’importe quoi à ses interlocuteurs.
N’étant que peu reconnue par une justice trop demandeuse de preuves à des victimes démunies, traumatisées, persécutées, discréditées et isolées socialement par leur bourreau, les victimes sont dans une situation qui leur permet rarement de s’échapper. S’ajoute aussi le fait que le manipulateur sur des années fait passer sa victime pour folle avec une grande intelligence, puisque la victime n’en sait rien. Souvent dans une situation précaire financièrement, l’aide juridictionnelle ne permet pas d’avoir les moyens suffisants pour avoir un avocat qui fait le maximum, ni de payer les experts, ou autres qui apporteraient les preuves nécessaires pour que le pervers soit démasqué.
Il faut également savoir que le pervers sait s’entourer de personnes bien placées pour le soutenir dans ses agissements (dans mon cas c’est notre notaire, une intouchable qui l’a aidé à me dépouiller, ainsi que le comptable de l’entreprise qui a joué sur les écritures comptables, sa mère qui s’est servi de ses relations).
Le manipulateur agit de telle sorte que sa victime ne se rend pas compte. Il choisit sa proie pour ses qualités qu’il s’approprie, il l’a fait vivre dans le doute, remettant en cause sans cesse ses compétences toujours de manière déguisée et sournoise. C’est unprocessus vicieux et inexplicable qu’il met en place peu à peu sur des années, perturbant et embrouillant sa victime.
http://www.paulwillekens.be/pw/pas.htm#2.1.2.4.
Par Michael BONE et Michael R. WALSH
Bien que le Syndrome d’Aliénation Parentale (PAS) soit un terme familier, il y a encore une grande part de confusion et de zones d’ombres sur sa nature, ses dimensions et par conséquent sa détection [1]. Son existence est cependant incontestable. Dans une étude longitudinale de 700 divorces » hautement conflictuels » suivis pendant 12 ans, il fût conclu que des éléments du PAS sont présents dans la grande majorité des cas [2]. Le diagnostic de PAS est réservé aux professionnels de santé mentale intervenant dans les tribunaux comme experts. Les éléments du diagnostic sont généralement décrits en termes cliniques qui restent vagues et ouverts à l’interprétation et, par conséquent, susceptibles d’arguments pour ou contre par des contre-experts. Le phénomène d’un parent montant l’enfant contre l’autre parent n’est pas un concept compliqué, mais historiquement il a été difficile à identifier clairement. Les dossiers impliquant le PAS sont donc hautement litigieux, pleins d’accusations et de contre accusations, et enlisent les tribunaux dans une recherche sans fin de détails qui se révèlent n’être finalement rien d’autre que des bruits de couloir. Notre expérience nous a montré que le phénomène PAS laisse des traces qui peuvent être identifiées plus efficacement en faisant abstraction des accusations hystériques, et en progressant dans une direction plus positive.
Pour aborder cet article, les auteurs supposent un bon degré de familiarité avec le PAS de la part du lecteur [3]. Il y a de nombreux bons écrits sur le PAS que le lecteur pourrait souhaiter consulter maintenant ou dans le futur pour son information générale. Notre propos est ici beaucoup plus étroit. En particulier, le but est double. D’abord, nous décrirons 4 critères spécifiques qui peuvent être utilisés pour identifier un PAS potentiel. Dans la plupart des cas, ces critères peuvent être identifiés à travers les faits du dossier, mais peuvent aussi être révélés lors des dépositions ou des témoignages en audience. Deuxièmement, nous voulons introduire le concept de » tentative » de PAS, c’est à dire quand les critères de PAS sont présents, mais l’enfant n’est pas aliéné avec succès du parent absent. Ce phénomène est néanmoins tout à fait désastreux et le fait que l’enfant ne soit pas aliéné ne doit pas être considéré comme neutre par le tribunal.
Les critères décrits ci-dessous sont clairement faciles à identifier indépendamment du dossier judiciaire. Quand il y a doute sur l’un d’eux, ces critères peuvent être utilisés pour guider l’avocat dans la déposition des témoins aussi bien que dans leur examen au tribunal.
Critère I : Entrave à la relation et au contact
Le critère I concerne l’entrave active à la relation et au contact entre l’enfant et le parent absent. L’argument utilisé pour justifier cette entrave peut prendre de nombreuses formes. Un des plus courants est celui de la protection. Il peut être argumenté que le jugement (la capacité ?)parental du parent absent est inférieur et alors l’enfant vit très mal les visites. Dans les cas extrêmes, cela peut prendre la forme d’allégations d’abus, très souvent d’abus sexuels. Cela sera traité plus en détails dans le critère II, mais il suffit de dire cela pour que ce soit une bonne raison pour suspendre ou même mettre fin aux visites. A un niveau plus courant et subtil, l’argument invoqué pour suspendre les visites est que le parent absent n’est pas » stabilisant » pour l’enfant et qu’ils ont besoin de temps » pour s’y adapter « . Le message est dans ce cas-ci que le parent absent est considéré moins comme un membre clé de la famille et plus comme une connaissance agaçante que l’enfant doit voir de temps en temps. Au cours du temps, ceci peut avoir un effet sérieux d’érosion de la relation entre l’enfant et le parent absent. Une expression encore plus subtile de ceci est que la visite n’est pas » commode « , la reléguant de ce fait au statut de devoir ou de corvée. De nouveau le résultat est l’érosion de la relation entre l’enfant et le parent absent ou » ciblé « . Un phénomène souvent vu dans ce contexte est que la moindre entorse au programme prévu pour les visites est utilisée comme une raison pour supprimer complètement la visite.
Le fil conducteur de toutes ces tactiques est qu’un parent est supérieur à l’autre et par conséquent que celui-là doit être écarté de la vie de l’enfant. Le parent aliénant dans ces circonstances agit de manière inappropriée comme écran entre l’enfant et le parent absent. Quand ceci intervient pendant des périodes substantielles de temps, l’enfant reçoit le message non dit mais clair qu’un parent est supérieur à l’autre. Les plus jeunes enfants sont plus vulnérables à ce message et tendent à l’accepter sans esprit critique. Cependant, on peut toujours détecter des éléments faisant écho à ceci même au cours de l’adolescence. Le concept important ici est que chaque parent reçoive la responsabilité de promouvoir une relation positive avec l’autre parent. Quand ce principe est violé dans le contexte d’entrave à la relation sur une base consistance, on peut assurer que le critère I a été identifié sans aucun doute.
Critère II : Allégations non fondées d’abus
Le second critère est relatif aux accusations fausses ou non fondées d’abus à l’égard du parent absent. L’expression la plus stridente de ceci est la fausse accusation d’abus sexuel [4]. Il a bien été étudié que l’incident de fausses allégations d’abus sexuel compte pour plus de la moitié des cas étudiés, quand les parents divorcent ou sont en conflit sur des éléments postérieurs à la séparation [5]. Ceci est le cas en particulier avec les petits enfants qui sont plus vulnérables aux manipulations impliquées par de telles fausses allégations. Quand le dossier montre qu’au moins un rapport d’un tel abus s’avère non fondé, il est conseillé à l’enquêteur de rechercher d’autres expressions de fausses accusations.
D’autres exemples de ceci peuvent être trouvés dans les allégations d’abus physique que les enquêteurs montrent ultérieurement comme étant non fondées. Notre expérience nous a montré qu’il y a moins de fausses allégations d’abus physiques que d’autres formes d’abus, probablement parce que les abus physiques laissent des traces visibles évidentes. Ceci est évidemment beaucoup plus facile d’accuser mensongèrement quelqu’un de quelque chose qui ne laisse aucun signe physique et n’a pas de témoin tiers.
Une forme plus courante d’expression de ceci serait celle qualifiée d’abus émotionnel. Quand de fausses allégations d’abus émotionnel sont soulevées, on trouve souvent que ce qui est présent est en l’occurrence un jugement parental différent qui est considéré comme » abusif » chez le parent absent. Par exemple, un parent peut laisser un enfant veiller plus tard le soir que l’autre parent, et ceci peut-être considéré comme » abusif » ou » préjudiciable » à l’enfant. Ou un parent peut introduire son nouveau » partenaire » dans la vie de l’enfant avant que l’autre parent ne l’estime pertinent et ceci peut aussi être qualifié d’ »abus » de l’enfant.
Alternativement, un parent peut engager un enfant dans une activité que l’autre parent désapprouve et cette activité est, en la circonstance, une différence d’opinion parentale qui est alors décrite comme étant abusive par nature. Ces exemples, aussi triviaux qu’ils puissent le sembler individuellement, peuvent conduire à la position de traiter la différence parentale dans des termes inappropriés de jugement subjectif. Suivant ce schéma, toutes les façons d’agir peuvent être présentées de façon à véhiculer le message d’abus, directement ou indirectement. Quand ce phénomène intervient littéralement des milliers de fois et de manières différentes, chacun semble insignifiant en lui-même, mais l’atmosphère émotionnelle qu’il crée induit un effet clairement aliénant sur l’enfant.
Evidemment, ce type d’acrimonie est très courant dans les séparations mais de tels conflits ne doivent pas nécessairement être mal interprétés ou pris comme une illustration du syndrome PAS. Cependant, ce critère est clairement présent et identifiable quand le parent est très motivé pour lancer violemment les allégations d’abus, plutôt que d’être réservé, prudent et même réticent à faire ainsi. Ce dernier cas est plus à mettre en relation avec la responsabilité du parent à encourager et à favoriser ouvertement la relation avec l’autre parent. Le parent responsable n’invoquera seulement des mauvais traitements qu’après avoir essayé et échoué d’expliquer pourquoi le problème en question ne constitue pas une maltraitance. En résumé, le parent responsable donnera à l’autre parent le bénéfice du doute quand de telles allégations surviennent. Il ou elle hésitera de quel coté pencher, alors que le parent aliénant ne ratera pas une occasion d’accuser l’autre parent. Quand cette attitude existe de manière claire et cohérente, ce critère du PAS est confirmé.
Critère III : Détérioration de la relation depuis la séparation
Le troisième des critères nécessaires pour la détection du PAS est probablement le moins décrit et identifié, mais est fondamentalement l’un des plus importants. Il est relatif à l’existence d’une relation positive entre l’enfant mineur et le parent absent ou » non-résident « , avant la séparation du couple, et à sa dégradation substantielle ultérieure. La reconnaissance d’un tel déclin ne va pas de soi. C’est, de plus, l’un des plus importants indicateurs de présence de l’aliénation mais aussi la mesure de son » succès » relatif. A titre d’exemple, si un père avait une relation bonne et réciproque avec les enfants avant la séparation, et une relation très distante après, alors on peut à tout le moins supposer sauf preuves du contraire, que quelque chose a causé ce changement. Si ce père essaye clairement de maintenir une relation positive avec les enfants à travers des visites régulières et autres activités et que les enfants ne veulent pas le voir ou l’impliquer dans leurs vies, alors on pourra seulement spéculer qu’un processus d’aliénation a été mis en œuvre. Les enfants ne perdent naturellement pas l’intérêt pour le parent » non résidentiel » ni ne deviennent pas distant simplement en vertu de l’absence de ce parent. Aussi, des relations parentales saines et établies ne s’érodent pas naturellement. Elles doivent être attaquées. Alors, un dramatique changement dans ce domaine est toujours un indicateur virtuel qu’un processus d’aliénation a eu quelque succès dans le passé.
En particulier, si une évaluation soignée de la relation parentale avant séparation n’est pas faite, son omission crée l’impression que le trouble ou même le statut d’aliénation qui existe depuis est plus ou moins un résumé précis de ce qui existait auparavant. Remarquons que rien n’est moins sûr ! Une relation aliénée, partiellement aliénée ou de manière intermittente avec le parent non résidentiel et l’enfant après la séparation est plus précisément une distorsion de la réelle relation parentale en question. Sa mise à exécution conduit souvent à une atmosphère hystérique qui est souvent présente dans ces dossiers. Un praticien soigneux sait bien qu’un examen approfondi est nécessaire et qu’il doit être conduit avec la plus haute minutie et un examen rigoureux .
Si cette pièce du puzzle est négligée, les conséquences peuvent être dévastatrices pour la survie de cette relation. Alors, sans cette composante, le tribunal peut facilement être tenté de conclure prématurément ou être trompé afin de penser que le trouble de l’environnement de séparation est représentatif de la vraie relation parent-enfant. Dès que ce jugement est prononcé par la cour, c’est un défi difficile de corriger cette perception.
A propos d’un problème différent mais qui est liée, on doit dire un mot à propos de l’utilisation d’experts. D’abord, il faut comprendre que tous les professionnels de santé mentale ne sont pas conscients ou ne savent comment traiter le phénomène PAS. En fait, quand un professionnel de santé mentale peu familier avec le PAS est consulté pour une recommandation au sujet du droit de visite et d’hébergement ou des problèmes liés, il ou elle peut potentiellement faire plus de mal que de bien. Par exemple, si le psychologue néglige d’enquêter sur la relation avant la séparation avec le parent » non résidentiel » et l’enfant, il ou elle peut alors très facilement évaluer à tort que l’acrimonie actuelle est représentative de la relation, et recommander que l’enfant doit avoir moins de visites avec le parent, confortant évidemment ainsi la progression du PAS non diagnostiqué. Si cet expert néglige aussi l’évaluation critique des accusations d’abus ou le moment où elles sont apparues, elles pourraient être prises pour argent comptant et alimenter potentiellement un PAS non diagnostiqué. Si ce professionnel n’est pas aussi sensible aux subtilités de l’obstruction de l’accès et du contact que son initiateur, il ou elle pourrait potentiellement l’encourager, contribuant par là au processus de PAS . Quand ces choses arrivent, l’expert professionnel de santé mentale devient alors partie prenante du PAS quoique involontairement. Ceci est alarmant, et arrive souvent. Suffit-il de dire, si on soupçonne un PAS, que l’avocat doit attentivement et soigneusement évaluer l’investigation et la conclusion du professionnel de santé mentale. Ne pas le faire peut causer un dégât irréversible au dossier, et finalement à l’enfant.
Critère IV : Réaction de peur intense des enfants
On considère que le quatrième critère nécessaire pour la détection du PAS est plus psychologique que les trois premiers. Il fait référence à une réaction évidente de peur de la part de l’enfant, de déplaire ou de contrarier le parent potentiellement aliénant à l’encontre du parent potentiellement cible. En résumé, un parent aliénant applique l’adage : » My way or the highway ». Si l’enfant désobéit à cette directive, en particulier en exprimant une approbation positive du parent absent, les conséquences peuvent être très sérieuses. Il n’est pas rare pour un parent aliénant de rejeter les enfants, en leur disant souvent qu’ils pourraient aller vivre avec le parent cible. Quand ceci arrive, on voit souvent que cette menace n’est pas mise à exécution , mais elle agit encore comme un message d’avertissement permanent. L’enfant, en effet, est mis dans une position d’être l’ » agent » du parent aliénant et est continuellement confronté à divers tests de loyauté. La conséquence importante ici est que le parent aliénant force alors l’enfant à choisir ses parents. Ceci, évidemment, est en opposition directe avec le bien-être émotionnel de l’enfant.
Afin d’apprécier pleinement ce scénario, on doit réaliser que le processus PAS agit dans un environnement » basé sur la terreur « . C’est l’installation de la terreur par le parent aliénant chez l’enfant mineur qui alimente la conduite dans cette voie.
http://www.facebook.com/profile.php?id=1307745103&ref=name (s’appretant à une sortie)
Cette peur conduit à ce que la psychanalyse nous dit être l’émotion la plus fondamentale inhérente à la nature humaine – la peur de l’abandon. Les enfants dans ces conditions vivent dans un état de désordre chronique et de menaces de représailles. Quand l’enfant ose vraiment défier le parent aliénant, ils apprennent rapidement qu’il y a un sérieux prix à payer. Ensuite, les enfants qui vivent de telles vies développent un sens aigu de la vigilance pour ne pas déplaire au parent aliénant. L’observateur sensibilisé peut le constater lorsque les programmes de visite changent subitement sans raison apparente. Par exemple, lorsque l’instant du rendez-vous approche, l’enfant change subitement d’humeur et commence à protester bruyamment contre une visite dont il ne s’était pas plaint auparavant. C’est dans ces circonstances qu’un tribunal, suspectant le PAS doit appliquer dans des termes stricts les visites programmées qui autrement n’auraient pas lieu ou seraient ignorées.
Le parent aliénant peut sembler le plus souvent désorienté face au changement soudain dans l’attitude de l’enfant à l’égard des visites. En fait, le parent aliénant apparaîtra souvent comme celui qui encourage les visites. Ce scénario est très courant dans les familles PAS. Il est standard car il dissimule, au moins pour un instant, la politique de terreur (ou le mécanisme de peur) sur lequel repose le processus d’aliénation. Une autre manière d’exprimer ce concept serait qu’à chaque fois que l’on donne à l’enfant le choix de la visite, il est mis en position d’exprimer sa loyauté à l’égard des souhaits du parent aliénant en refusant toute visite avec le parent absent. S’écarter de cela ouvre la porte à l’abandon de l’enfant par le parent avec lequel l’enfant vit la grande majorité du temps. Les enfants, dans ces circonstances, n’opteront pas de leur plein gré vers le libre choix. Le tribunal doit alors agir de manière expéditive pour les protéger et utiliser un éventail de remèdes spécifiques et disponibles [6].
En conséquence de ce qui précède, les enfants apprennent à manipuler. Les enfants choisissent souvent un parent au détriment de l’autre, dans une démarche visant à obtenir quelque avantage. Dans le cas du PAS, la même dynamique agit à un niveau plus désespéré. Car au delà de manipuler pour obtenir un avantage, les enfants apprennent à manipuler juste pour survivre. Ils deviennent experts avant l’âge pour décrypter l’environnement émotionnel, dire des vérités partielles, et enfin s’enliser dans les mensonges. On doit cependant rappeler que ce sont des stratégies de survie qu’ils ont été obligés d’apprendre afin de préserver la paix à la maison et éviter les attaques émotionnelles du parent gardien. Cette explication étant donnée, il est parfois plus facile de voir pourquoi les enfants, dans un effort pour gérer cette situation, trouvent souvent plus facile de commencer à intérioriser les perceptions du parent aliénant à l’égard du parent absent et commencer à faire écho à ces sentiments. C’est l’un des plus irrésistibles et dramatiques effets du PAS, c’est à dire, entendre un enfant vilipender le parent absent et rejoindre le parent aliénant dans de telles attaques. Si l’on n’est pas sensible au » mécanisme de terreur » au cœur de ceci, il est difficile de ne pas prendre les protestations de l’enfant pour de l’argent comptant. Ceci, évidemment, est conforté lorsque l’expert n’est pas sensible à cette puissante composante de terreur, mais croit que l’enfant exprime ses sentiments profonds en contrevenant par un plan de » non visite « .
Conclusion
Tous les critères énumérés ci-dessus peuvent sembler indépendants les uns des autres dans les séparations hautement conflictuelles, mais rappelons que la présence de quelques uns d’entre eux ne constitue pas toujours un PAS. Cependant, lorsqu’ils sont présents tous les quatre, et si la possibilité de réels abus a été raisonnablement écartée, le processus d’aliénation parentale agit. Ceci ne veut pas nécessairement dire, cependant, qu’il réussira à ce que l’enfant soit aliéné avec succès du parent cible. Le meilleur indicateur prévisionnel d’une aliénation réussie est directement lié au succès du parent aliénant d’écarter les enfants du parent cible. Quand il y a des périodes substantielles au cours desquelles ils ne voient pas l’autre parent, les enfants sont plus probablement empoisonnés par ce processus. Une autre variable qui donne une indication du succès est l’âge de l’enfant. Les plus jeunes enfants sont généralement plus vulnérables que les plus âgés. Aussi, une autre variable est la profondeur et le degré d’implication de la relation parent-enfant avant la séparation. Plus la relation a été longue et engagée, moins les enfants seront vulnérables à une aliénation réussie. L’ultime indicateur est la ténacité parentale du parent cible. Un parent cible abandonne souvent et va vivre sa vie, augmentant considérablement les chances d’une aliénation réussie.
La question reste en suspends: que faire si les quatre critères sont présents, mais les enfants ne sont pas aliénés complètement ? Cet échec de l’aliénation doit-il être vu comme annulant la tentative d’aliénation ? La réponse à cela doit être résolument » non ! « . Cela doit être, mais souvent ça ne l’est pas. Il est très courant de lire une évaluation psychologique ou un rapport de GAL* qui identifie le PAS mais remarque que puisqu’il a échoué, il ne doit pas être pris au sérieux. Rien n’est moins sûr. Toute tentative d’aliéner les enfants par rapport à l’autre parent doit être vue comme une violation directe et délibérée de l’un des premiers devoirs de la parenté, qui est de promouvoir et d’encourager une relation positive et affectueuse avec l’autre parent, et le concept de responsabilité parentale partagée.
C’est notre sentiment que quand une tentative de PAS a été identifiée, réussie ou non, elle doit être traitée rapidement par les tribunaux. Sinon, cela contaminera et contrôlera tranquillement tous les autres problèmes parentaux, et conduira seulement au malheur, la frustration et finalement à l’éloignement parental.
http://2parents.net/spip.php?article98
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